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cet énorme stress qui l’empêche de dormir paisiblement…

Ce samedi 9 novembre, Flavie Flament était invitée sur le plateau de C L’Hebdo, et a raconté son quotidien de lève-tôt en tant qu’animatrice sur Télématin.

Flavie Flament, qui a pris la relève en tant que reine de l’émission depuis la rentrée, était invitée sur le plateau de C L’Hebdo ce samedi 9 novembre. Elle était aux côtés de Gérard Jugnot, qui a expliqué les circonstances dans lesquelles il a appris du décès de Michel Blanc.

Depuis septembre, Flavie Flament travaille pour l’émission Télématin sur France 2 dès 6h30 aux côtés de Julien Arnaud. L’animateur a donc été invité à faire le point sur ces deux premiers mois en (très) lève-tôt. Cela lui a permis de partager sa routine avec des invités et des chroniqueurs.

Une nouvelle vie « galvanisante »

L’animatrice a d’abord exprimé ses sentiments sur sa nouvelle vie“, qu’elle semble adorer :
« J’aime prodigieusement cette nouvelle vie. […] Elle est très différente. Elle est galvanisante et exigeante », a-t-elle expliqué, avant d’indiquer qu’elle se levait tous les jours à 3h30 du matin

Un nouveau rythme auquel Flavie Flament a dû s’habituer, et qui l’empêche parfois de dormir sur ses deux oreilles, de peur de rater un direct. : « C’est le lot de tous ceux qui se réveillent très tôt le matin. Et en plus, on ne peut pas manquer une diffusion en direct. Ça m’empêche parfois de dormir quand à 20 heures je me couche, je me dis qu’il faut vraiment que je puisse me réveiller à l’heure.

Flavie Flament « Se coucher devient stressant »

L’animatrice a par la suite expliqué avoir complètement changé de vie pour s’adapter à ce nouveau rythme.
: « Vous savez, c’est comme les matins de tout le monde sauf que c’est plus tôt. J’ai changé mes jours […]
Se coucher devient stressant parce qu’on a peur, on sait que les minutes de sommeil comptent”, a-t-elle déclaré.

Flavie Flament a ensuite plaisanté sur le fait que, même si elle peut faire moins de choses la semaine, elle se rattrape le week-end. : « Nous avons peu de vie sociale. C’est aussi un choix. […] Mais cela ne m’empêche pas de profiter du week-end, de vivre, de manger, de boire, de faire l’amour. Je fais tout le week-end ce que je ne fais pas pendant la semaine.

 
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