jeLa météo capricieuse, une fois de plus, n’aura pas épargné les vins de Savoie. Les conséquences ? Moins de rendement, mais une qualité qui devrait être au rendez-vous. C’est le résultat des vendanges savoyardes.
Les gelées d’avril et les pluies incessantes du printemps et de la fin de l’été nous faisaient craindre le pire, mais finalement la profession se porte bien.
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Entre 100 000 et 107 000 hectolitres
La plupart des exploitations savoyardes ont été touchées par le climat : après la douceur de la fin de l’hiver dernier, qui a favorisé ” une reprise du cycle végétatif “, selon le Comité Interprofessionnel des Vins de Savoie, la vague de froid survenue en avril” a causé beaucoup de dégâts, notamment dans les vignobles de fond de vallée ou de bas de coteaux, particulièrement touchés par le gel ».
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Les pluies printanières ont également favorisé le développement de diverses maladies, comme le mildiou. En septembre, les vignerons ont dû lutter contre l’apparition de la pourriture grise, qui a ralenti l’avancée des vendanges.
Au final, la production estimée entre 100 000 et 107 000 hectolitres est inférieure à la moyenne des 10 dernières années.
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