Alors que St-Hubert annonçait cette semaine des prix plus accessibles Mario Dumont écrit dans une chronique pour le Journal de Montréal que d’autres établissements devraient faire de même.
Rappelons que la célèbre chaîne de restaurants a expliqué vouloir introduire des prix « plus avantageux », mais aussi « plus flexibles » dans le but de « s’adapter à la réalité avec laquelle les Québécois doivent composer ».
Une initiative qui séduit Mario Dumont. « Le Groupe St-Hubert a fait une lecture précise de l’état d’esprit de ses clients. Son annonce de baisser les prix d’une série de plats a reçu un accueil amical et je ne serais pas surpris de voir une hausse de fréquentation à court terme”, peut-on lire dans sa chronique du JDM.
Selon lui, cette annonce arrive à point nommé car « les prix assomment de nombreux consommateurs ». En fait, de nombreuses familles vont moins au restaurant en raison des prix élevés. « Les familles sortent souvent des restaurants familiaux sous le choc. Nous pensions nous accorder un petit jeudi soir pour cuisiner et faire la vaisselle et maintenant, le coût vient d’atteindre les trois chiffres », écrit Mario Dumont.
La solution est donc évidente pour le chroniqueur : les restaurants doivent proposer des prix plus accessibles. Cependant, ce n’est pas si simple à mettre en place. « Les restaurants sont confrontés à des coûts de fonctionnement élevés et irréductibles : nourriture, main d’œuvre, loyer », souligne-t-il.
Vous pouvez lire la chronique complète de Mario Dumont dans le Journal de Montréal en cliquant ici .
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