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malgré les menaces des macronistes, des hausses d’impôts annoncées mardi ?

30/09/24 – 22:18 – Un « choc fiscal » annoncé par Michel Barnier lors de sa déclaration de politique générale ?

C’est en tout cas ce qui se passe ce lundi soir Le Parisien. Evoquant une déclaration “plus courte que d’habitude”, selon les mots de Matignon, mais qui devrait encore occuper les députés pendant près d’une heure, ce texte serait le résultat d’un “travail collectif” fruit de mille et de consultations avec Michel Barnier ces dernières semaines. . Mais surtout, le quotidien affirme que face à la situation économique du pays, le Premier ministre n’entendrait pas se dérober et envisagerait même de proposer un « choc fiscal » dont le but serait d’engranger 15 à 18 milliards d’euros de recettes en plus. Parmi les mesures envisagées par Michel Barnier, Le Parisien évoque le triplement de la contribution exceptionnelle sur les hauts revenus, avec pas moins de trois milliards d’euros espérés, mais aussi une surtaxe sur les entreprises – huit milliards d’euros -, ainsi qu’une augmentation des taxes sur l’électricité – là encore trois milliards d’euros de plus -, et une contribution supplémentaire demandée aux énergéticiens et sur les rachats d’actions – trois milliards d’euros. Plusieurs lois de programmation votées ces dernières années pourraient également être reportées. Quant à l’objectif de déficit de 3% en 2027, Michel Barnier souhaiterait le repousser à 2029.

30/09/24 – 20:34 – Michel Barnier n’entend pas solliciter de vote de confiance après sa déclaration de politique générale

Tout comme ses prédécesseurs Élisabeth Borne et Gabriel Attal, Michel Barnier ne sollicitera pas de vote de confiance mardi suite à sa très attendue déclaration de politique générale à l’Assemblée nationale, a annoncé ce lundi soir son entourage comme l’a révélé Le Figaro et Europe 1. L’inverse aurait été audacieux, voire risqué : en cas de défaite, le gouvernement doit en principe démissionner. Si le Premier ministre n’est en aucun cas obligé de se plier à ce vote de confiance par la Constitution, s’y soumettre aurait été dangereux puisqu’il ne dispose pas de majorité absolue dans l’hémicycle du palais Bourbon.

30/09/24 – 18h31 – Matignon prend ses distances avec l’Élysée

Selon les informations de BFMTV, le prochain reportage du Conseil des ministres, comme les suivants, n’aura plus lieu à l’Élysée, mais depuis le 20 avenue de Ségur qui abrite une annexe de… Matignon. S’adressant à la chaîne d’information en continu, l’entourage de Michel Barnier explique que ce choix “est le résultat d’un accord entre le Premier ministre et le président de la République”. Et de souligner : “Cela illustre le nouvel équilibre institutionnel.”

30/09/24 – 16h22 – « On ne peut pas continuer à vivre à crédit », affirme Jean-Louis Debré

« Ce qui m’importera, ce seront les annonces dans cette séquence parlementaire importante. La déclaration de politique générale donnera des intentions. Tout le applaudira. Mais il faut dire la vérité sur la situation financière de la . Chaque jour, nous apprenons que la dette est plus importante que ce que nous avions prévu. Est-ce qu’on cache la situation depuis des mois et des mois ? » demande Jean-Louis Debré, ancien président de l’Assemblée. national au micro de France Info ce lundi 30 septembre 2024.

« Les mesures qui vont être prises dans le budget vont devoir répondre à cela. J’admire ceux qui disent qu’ils ne veulent pas d’impôts supplémentaires. Personne ne veut ça. Mais ceux qui disent ça sont probablement les responsables de la situation économique et financière de la France, on ne peut pas continuer à vivre à crédit”, dit-il.

30/09/24 – 16h08 – Quelle position sur la réforme des retraites ?

Le 22 septembre, le Premier ministre déclarait au JT de 20 heures de France 2 vouloir « prendre le temps d’améliorer » la réforme des retraites. “Nous avons une loi qui prévoit un cadre financier et je pense que ce cadre financier doit être préservé”, a-t-il indiqué. Et les oppositions ? Du côté du NFP et du RN : nous souhaitons clairement l’abrogation de cette réforme. Un projet de loi d’abrogation sera déposé par le parti lepéniste le 31 octobre. Alors, quelle sera la position de Michel Barnier et la teneur de ses propos lors de son discours de politique générale ? Réponse ce mardi 1er octobre à 15h

30/09/24 – 13h46 – Une taxe exceptionnelle sur certains grands groupes

“Nous allons faire appel, exceptionnellement et temporairement, à ceux qui peuvent contribuer à cet effort”, a déclaré Michel Barnier vendredi dernier dans les colonnes du Journal de Saône-et-Loire, concernant une éventuelle hausse des impôts. Concrètement, qu’est-ce que cela signifie ? Une « contribution exceptionnelle aux bénéfices des grandes entreprises » est en effet envisagée, comme en 2017, selon les informations du Monde. Les groupes concernés pourraient être contraints de payer une surtaxe de 8,5 points de pourcentage, en plus de l’impôt sur les sociétés de 25 %. Une mesure qui pourrait rapporter 8 milliards d’euros aux caisses de l’Etat. Le gouvernement insiste actuellement sur le caractère temporaire de cette mesure, afin que « les grandes entreprises contribuent au redressement des finances publiques ». Cette mesure ne devrait concerner que les groupes réalisant un chiffre d’affaires supérieur ou égal à 1 milliard d’euros et redevables de l’impôt sur les sociétés.

 
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