LLes exégèses de la vie et de l’œuvre du pape François n’apprendront pas grand-chose de son autobiographie, Espoirco-écrit avec Carlo Musso, qui sort ce mercredi dans plus de 100 pays, et en France aux éditions Albin Michel. Depuis son élection au trône de Saint-Pierre le 13 mars 2013, Jorge Bergoglio a beaucoup pris la parole, publiant jusqu’à plusieurs livres par an, ou répondant à de longues interviews, notamment avec ses biographes argentins Francesca Ambrogetti et Sergio Rubin – pour leur livre Le bergersans aucun doute la meilleure biographie du pape, après Le Jésuite écrit en 2010 – ou avec le Français Dominique Wolton ou, bien sûr, le jésuite Antonio Spadaro, le directeur de la revue Civilisation catholique.
Il n’en reste pas moins que ce livre est touchant, car le pape François évoque longuement une vie riche en rebondissements, ponctuée de rencontres étonnantes et édifiantes, ce qui explique son choix de carrière sacerdotale et nombre de ses positions. Le souverain pontife dresse aussi un portrait de l’Église qu’il a tenté de mettre en place, sans pousser les réformes jusqu’au bout. Voici les faits saillants.
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