L’histoire des relations entre jazz et cinéma est tissée de multiples collusions. Avec des moments forts comme le tournage dans les décors réels du sud des Etats-Unis d’Hallelujah, la musique de L’Homme au bras d’or confiée à Duke Ellington, l’aventure de Miles Davis composant la partition d’Elevator for scaffold, ou, plus près de nous , The Bird, la biographie de Charlie Parker. Une histoire aussi d’incompréhensions, de rendez-vous manqués, liée à l’histoire de la musique inventée par les noirs dans un pays où règnent la ségrégation et la domination culturelle des blancs. A la fin des années 1950, John Cassavetes invente un authentique mélange artistique avec Shadows. Et plus près de chez nous, comment le jazz s’exprime-t-il au cinéma ? L’histoire des relations entre jazz et cinéma est tissée de multiples collusions. Avec des moments forts comme le tournage dans les décors réels du sud des Etats-Unis d’Hallelujah, la musique de L’Homme au bras d’or confiée à Duke Ellington, l’aventure de Miles Davis composant la partition d’Elevator for scaffold, ou, plus près de nous , The Bird, la biographie de Charlie Parker. Une histoire aussi d’incompréhensions, de rendez-vous manqués, liée à l’histoire de la musique inventée par les noirs dans un pays où règnent la ségrégation et la domination culturelle des blancs. A la fin des années 1950, John Cassavetes invente un authentique mélange artistique avec Shadows. Et plus près de chez nous, comment le jazz s’exprime-t-il au cinéma ? Charline Caron, de la Maison du Jazz de Liège, a rencontré Gilles Mouëllic pour son livre Jazz et Cinéma. Un Ciné-récit diffusé par Jean-Louis Dupont
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