LE prix du blé tendre, de l’orge fourragère et du maïs a progressé sur le marché physique français entre le 20 décembre 2024 et le 6 janvier 2025, dans le sillage d’Euronext.
Hausse des prix du blé tendre
LE prix du blé tendre sur le marché physique français a grimpé entre le 20 décembre et le 6 janvier, à l’instar d’Euronext et du CBOT. Sur les principaux marchés à terme, ce sont les conditions climatiques en Russie qui ont le plus stimulé la hausse des prix. En effet, l’agence météorologique nationale a annoncé des températures élevées au début de l’hiver, qui pourraient sortir le blé de sa dormance et le rendre plus vulnérable aux épisodes de gel ultérieurs. Aux États-Unis, les vagues de froid pourraient causer des dégâts aux blés d’hiver, même s’il n’y a pas de couverture neigeuse pour les protéger. L’activité sur les places françaises était limitée par la trêve des confiseurs.
Pas de changement dans les prix du blé dur
Les prix du blé dur sur le marché physique français n’ont pas évolué entre le 20 décembre et le 6 janvier. L’activité sur les places françaises a été limitée par la trêve des confiseurs.
Hausse des cours de l’orge meunière
LE prix de l’orge fourragère sur le marché physique français a augmenté entre le 20 décembre et le 6 janvier, comme le blé tendre. L’activité sur les places françaises était limitée par la trêve des confiseurs.
Hausse des prix du maïs
LE cotations du maïs sur le marché physique français augmenté entre le 20 décembre et le 6 janvier, dans le sillage des marchés à terme d’Euronext et du CBOT. Aux Etats-Unis, les opérateurs continuent de s’inquiéter de la sécheresse en Argentine, même si les prévisions de récolte ont été revues à la baisse d’un million de tonnes par le cabinet de conseil Soybean & Corn Advisor. Toutefois, les conditions climatiques restent favorables au Brésil. L’investiture de Trump à la présidence des États-Unis, le 20 janvier, continue de susciter des inquiétudes quant aux éventuelles mesures douanières qu’il pourrait prendre. L’activité sur les places françaises était limitée par la trêve des confiseurs.
Cet article a été rédigé par des journalistes spécialisés de La Dépêche-Le petit Meunier, qui accompagne les opérateurs du négoce céréalier depuis 1938.
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