Résultat final : Venise-Cagliari 2-1
VENISE
Stanković 7,5 – C’est difficile de voir un arrêt de la tête, il est doué pour être au bon endroit et sauver Venezia du mieux qu’il peut de la tête de Mina. Il est décisif à deux reprises sur Lapadula à bout portant, puis il déclenche également le volet sur Felici. Aurait-il pu sortir sur le but de Pavoletti ? Peut-être, mais face à 3 miracles, c’est trivial.
Autel 7 – Il n’avait pas peur d’affronter la tempête du match contre Côme en tenue d’été, encore moins une simple soirée froide. Et sur le terrain, il est aussi coriace que son apparence le suggère : il n’encaisse pas un pouce. La diagonale avec laquelle il couvre Lapadula en finale vaut un but et il célèbre en conséquence.
Idzes 6 –Svoboda vous manque ? Aucun problème. Surtout, il est appelé à être le leader du département, il transmet la confiance à ses coéquipiers et ferme tout. Un demi vote en moins car Pavoletti se met dans la tête et rouvre le match, mais Stankovic ne lui tend pas la main.
Sverko 7 – But maradonien, avec beaucoup moins de technique et de grâce et beaucoup plus de détermination. C’est la récompense d’une performance attentive du caractère.
Zampano 7 – Zampano express : de haut en bas, offrant des croisements répétés et des respirations sur le cou d’Augello à chaque descente. Au final il concède le centre qui rouvre le jeu, mais la prestation est totale.
Andersen 6,5 – Qualité et raisonnement en puissance : le couple avec Nicolussi Caviglia y va, même si en première mi-- les invités ne réfléchissent pas beaucoup. (Dal 70′ Crnigos 6 – Il vient se battre, il le fait lors de sa 101ème apparition avec la détermination habituelle)
Nicolussi Cheville 6.5 – Le début est crescendo : il est pris au milieu et lorsqu’il apparaît, il n’est pas assez vif pour réfléchir. Cependant, Venezia prend progressivement le terrain et le fait sous le contrôle de celui qui grandit de plus en plus en personnalité.
Ellertsson 7 – Définition de la ductilité : c’est celui qui se présente à chaque action, avec des - d’insertion ponctuels, c’est toujours celui qui fait tout son possible pour aider la défense, comme lorsqu’il fait une diagonale de 40 mètres pour tout sauver à 0- 0 .
Oristanio 7 – Et qui l’arrête, Gaetano Oristanio ? Il montre à son ancienne équipe qu’elle avait tort de ne pas croire en lui. Et il a mérité ce but qui lui a été retiré à cause d’un hors-jeu millimétrique (de Pohjanpalo). (Dall’84’ Yeboah St)
Busio 6.5 – Il active le radar et ne rate aucun ballon, mais surtout il découvre de plus en plus qu’il est un joueur qui, même lorsqu’il a besoin de courir après et de parcourir le terrain, le fait avec plaisir. (Dal 90′ Schingtienne sv)
Pojhanpalo 6.5 – Une performance intelligente et généreuse, au service complet de l’équipe. Il ne lui manque ni banque, ni support. (À partir de 84′, rue Gytkjaer)
Entraîneur Eusebio Di Francesco 7,5 – La force du travail. Cette victoire est la démonstration de ce qui a été dit depuis un certain - : qu’avec un peu de malice et aussi avec la capacité de souffrir, on pouvait dire des choses différentes sur cette Venise depuis un certain -. Performance plus sale que d’habitude grâce également à Cagliari, il a le mérite de transmettre du calme à son équipe après la tempête de la période de crise. 5 points sur les 3 derniers, ça va être un joli Noël.