Grosse inquiétude autour d’un conseiller de Donald Trump. Alex Bruesewitz, 27 ans, est tombé au sol alors qu’il s’exprimait sur scène lors d’un gala des Jeunes Républicains à New York dimanche soir. Au milieu de son discours, le jeune homme s’est mis à parler avec difficulté, affirmant avoir « oublié » ses paroles.
Des images partagées sur les réseaux sociaux le montrent silencieux un moment, puis tombant au sol, emportant le bureau avec lui. Plusieurs personnes se sont précipitées à son secours et l’ont emmené dans les coulisses. L’événement qui s’est tenu au Cipriani Wall Street s’est ensuite poursuivi sans lui, précise le magazine américain Newsweek.
Le rédacteur en chef du site d’information conservateur Human Events, Jack Posobiec, a expliqué sur X avoir parlé avec Alex Bruesewitz. « Il est examiné par un médecin après un bref évanouissement sur scène. Tous les examens sont normaux. La seule chose qu’il m’a demandé, c’est : « Est-ce que ça avait l’air cool ? ‘. Il s’en sortira très bien. »
Le maître de cérémonie Raheem Kassam, ancien conseiller du conservateur britannique Nigel Farage, a confirmé qu’Alex Bruesewitz allait bien. “Il est en convalescence là-bas, alors encouragez-le pour qu’il puisse vous entendre”, a-t-il déclaré depuis la scène au public.
Dans un deuxième message publié sur le réseau social, Jack Posobiec laisse entendre que l’évanouissement d’Alex Bruesewitz était probablement dû à une déshydratation combinée à des « jambes tendues », une station debout prolongée pouvant entraîner une mauvaise circulation sanguine et un inconfort vagal.
Donald Trump a décroché son téléphone pour prendre des nouvelles de son conseiller, selon le New York Post. “Je sais qu’Alex s’en sortira parce que c’est un dur à cuire”, a déclaré le président élu. Cela ne fait aucun doute. Je tiens donc à saluer Alex, car c’est un homme très spécial. » Alex Bruesewitz, PDG du cabinet de conseil politique et commercial X Strategies, a été embauché par le président élu l’été dernier pour l’aider à sensibiliser les jeunes pendant la campagne présidentielle américaine et l’aider à véhiculer l’image d’un candidat « cool ».