« Il n’y a aucune raison de déclarer la loi martiale. Nous ne pouvons pas laisser les militaires diriger ce pays. Le président Yoon Suk Yeol a trahi le peuple. »
— Lee Jae-myung, chef de l’opposition sud-coréenne, dénonçant la déclaration de loi martiale du président Yoon Suk Yeol, qui a qualifié l’opposition majoritaire au parlement sud-coréen de « forces hostiles à l’État » et a déclaré qu’elle agissait pour protéger le pays des menaces émanant de Corée du Nord. Bien que cette déclaration ait été contestée par un vote à l’Assemblée nationale, l’armée a indiqué qu’elle serait appliquée jusqu’à ce qu’elle soit levée par le président.
PS : La déclaration du président conservateur d’un pays allié a surpris Washington. Le Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche a publié une déclaration laconique à ce sujet : « L’administration est en contact avec le gouvernement de la République de Corée du Sud et surveille de près la situation pour en savoir plus. » Les États-Unis n’ont pas été informés à l’avance de cette annonce. Nous sommes très préoccupés par les développements que nous observons sur le terrain en République de Corée du Sud. »
(Photo AFP/Getty Images)
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