Oui, le guitariste Steve Howe et le chanteur Jon Davison sont accusés de « volé » musique d’un autre artiste, Riz Story.
Les membres du légendaire groupe de rock progressif Yes sont accusés d’avoir utilisé une composition volée à un autre musicien de rock progressif, Riz Story, comme base pour ” Le courage de savoir », le deuxième single de l’album La recherche (2021) par Oui.
La plainte pour violation du droit d’auteur, déposée mercredi à Los Angeles et obtenue par Pierre roulanteaffirme que Jon Davison, chanteur de Yes depuis 2012, a conspiré avec le guitariste Steve Howe pour voler des parties protégées par le droit d’auteur d’une chanson intitulée ” Réunion ». Eh bien, ça « Réunion » n’est pas sorti en tant que chanson autonome, dans laquelle il apparaît Une rose d’hiverle film indépendant de 2014 réalisé par Riz Story avec Paul Sorvino, Billy Zane, Taryn Manning et Edward Furlong.
Riz Story, de son vrai nom Rudolph Zahler, dit que Davison connaissait sa musique parce qu’ils se sont rencontrés en 1990 par l’intermédiaire de Taylor Hawkins, l’ancien batteur des Foo Fighters, et ont travaillé ensemble pendant des décennies. Selon lui, Davison et Hawkins ont joué avec lui dans la première version de son groupe Everyone alors qu’ils avaient la vingtaine.
Zahler affirme qu’il a aidé Davison à auditionner pour Yes. Il affirme que Davison lui a demandé de co-écrire des chansons pour le groupe en 2013. Davison a même accepté d’offrir à Zahler un rôle de producteur sur un album de Yes, mais le groupe a finalement choisi une autre direction. Selon le document judiciaire, Davison a spécifiquement félicité Zahler pour la musique pour laquelle il a écrit. Une rose d’hiver, inclus ” Réunion ».
Jon Davison aurait de nouveau approché Zahler pendant que Yes produisait La recherche, mais cette fois, il le ferait en secret. ” M. Davison a décidé de « voler » la chanson »Réunion” de M. Zahler pour l’album, plutôt que d’obtenir l’autorisation de M. Zahler “, lit-on dans la nouvelle plainte déposée par l’avocat Larry J. Caldwell du district central de Californie. Davison aurait présenté « Réunion » à Steve Howe, alors les deux hommes auraient « il a décidé d’ajouter des paroles à la musique, de mettre le nom “Le courage de savoir” à la chanson et donner le crédit d’écriture à M. Howe « . Zahler dit que Davison et Howe « ont j’ai conspiré » pour dissimuler leur crime en omettant Davison du générique d’écriture.
« C’est le cœur lourd que Riz Story est obligé de poursuivre Stephen Howe, l’une de ses idoles musicales d’enfance, et Jon Davison, son ami de toujours. explique Caldwell dans une déclaration à Pierre roulante. Mais ils ne lui ont pas laissé le choix. M. Story est convaincu que le système judiciaire rendra justice dans ces circonstances difficiles. »
Un musicologue expert engagé par Zahler a déterminé que « Réunion » et « Le courage de savoir “sur” un taux de similarité de 96%, ce qui est extrêmement élevé ». « Les deux chansons présentent des motifs mélodiques et rythmiques presque identiques dans leurs mélodies.a déclaré l’expert Dr Ethan Lustig sur la base de la plainte. Le fait que les deux chansons présentent de telles similitudes mélodiques et rythmiques, ainsi que l’utilisation de la même séquence harmonique distinctive, crée une très forte similitude qui serait extrêmement improbable par hasard. » Lustig a établi que « Le courage de savoir ” Est ” directement basé “ILS SONT” Réunion », selon le procès.
Les représentants de Davison, Howe et Yes n’ont pas répondu aux demandes de commentaires Pierre roulante
Riz Story demande des dommages-intérêts et une injonction exigeant le Oui. donne à M. Zahler le seul mérite d’avoir écrit la musique de la version “Le courage de savoir” Depuis “Rencontre” “. La plainte souligne que Sì a mis à jour le générique d’écriture de « Le pont de glace », le premier single de La rechercheaprès que les fans aient souligné que la chanson était similaire à la musique de Francis Monkman. Dans un article sur supposé par erreur » qu’il s’agissait d’une des pièces de sa bibliothèque.
Le groupe attribue désormais l’écriture de « Le pont de glace »à Davison, Monkman et Downes.
Nancy Dillon
Traduit par la rédaction
