“CMI France prend acte de la fin des discussions avec M. Lefranc” et déplore “une situation inédite (qui) place le magazine dans une situation incertaine”, écrit le groupe du magnat tchèque Daniel Kretinsky dans un communiqué.
Mardi, le SRM avait demandé “la fin immédiate” des négociations engagées avec Jean-Martial Lefranc, assurant que son offre de rachat de 8,5 millions d’euros n’apportait pas de garanties suffisantes sur l’indépendance éditoriale du titre et n’était plus viable financièrement suite à la défection d’un investisseur majeur.
« Radicalité »
L’entourage de l’entrepreneur qui a fait carrière dans le jeu vidéo a réagi en déplorant la « radicalité » de la rédaction et estimant que cette « attitude » ne permettait pas « d’envisager une reprise sereine et constructive de Marianne à ce jour ».
Dans son communiqué de samedi, le groupe CMI France prend donc acte de cette impasse et affirme qu’il va désormais examiner “toutes les solutions possibles”, “déterminé (…) à trouver un avenir au titre, en concertation avec la direction du revue” .
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