la victime est en mort cérébrale

la victime est en mort cérébrale
la victime est en mort cérébrale

Le jeune militaire guadeloupéen de 26 ans, frappé devant la discothèque du quartier général la semaine dernière, est en état de mort cérébrale, a indiqué le procureur de la République de Besançon. Deux suspects ont été arrêtés. Le troisième agresseur, identifié, est toujours en fuite.

Cinq jours après la violente agression contre un militaire guadeloupéen à la sortie de la Discothèque, la préfecture, le procureur de la République de Besançon, Etienne Manteaux, a tenu une conférence de presse mardi. Il a déclaré que le jeune homme de 26 ans était en état de mort cérébrale.

Toujours plongé dans un coma artificiel au CHU Jean-Minjoz de Besançon où il est hospitalisé depuis vendredi dernier, il serait”sans espoir de survie», a informé le procureur. Il aurait subi de graves lésions cérébrales “ce qui a entraîné un œdème cérébral sévère”, poursuit-il.

Samedi, deux suspects de 19 ans ont été arrêtés à Besançon, inculpés et placés en garde à vue pour violences lors d’une réunion. Le premier n’est pas connu des tribunaux, mais le second est connu de manière plus défavorable. Il a déjà été condamné six fois, dont deux pour violences. Ils sont soupçonnés d’avoir participé au passage à tabac de ce militaire du 19e régiment du génie spécialisé dans “production d’eau et d’énergieUn troisième suspect est toujours en fuite, mais il aurait été identifié par la justice. Un mandat d’arrêt a été émis pour le retrouver.

Les trois agresseurs ont tous été identifiés grâce aux caméras de vidéosurveillance du club. Lors de sa conférence de presse, le procureur de la République de Besançon a révélé que « il est décédé paisiblement.

On peut imaginer qu’ils n’imaginaient pas la gravité des blessures de la victime.»

Etienne Manteaux, procureur de la République à Besançon

Il a également indiqué que les faits pourraient être requalifiés en violences intentionnelles aggravées ayant entraîné la mort sans intention de la provoquer en cas de décès de Guadalupinose. « Un délit passible de 20 ans de réclusion criminelle », spécification.

Le militaire, âgé de 26 ans, a été agressé par les trois hommes par jalousie. Durant leur détention, les deux suspects arrêtés ont déclaré que le Guadalupan avait “comportement inapproprié” dans les toilettes de la discothèque, contre une petite fille, qui n’est autre que la petite amie du troisième agresseur en cavale. Interrogée par les enquêteurs, la jeune femme n’a pas livré la même version des faits. Selon elle, la victime n’a pas eu de comportement inapproprié à son égard.

Le Guadeloupéen a reçu plusieurs coups alors qu’il se trouvait au sol, a indiqué le procureur de la République de Besançon. « L’un d’eux a reconnu avoir frappé le jeune militaire alors qu’il était encore debout et l’avoir frappé à nouveau alors qu’il était à terre.il a expliqué. Le second lui a également donné plusieurs coups de pied au visage alors qu’il était à terre.. Selon des images de vidéosurveillance consultées par les enquêteurs, le troisième homme lui a également donné des coups de poing, dont l’un l’a fait tomber. La tête de la victime a alors heurté violemment le sol.

Arrivée sur place depuis la Guadeloupe, la famille du jeune militaire, installé en depuis un an et demi, est à son chevet. ” Son est soigné, accompagné et soutenu par le régiment”, précise une Source militaire. Les amis et proches du jeune homme ont lancé une collecte de fonds en ligne pour soutenir sa famille.

Le directeur interministériel de la police nationale de Besançon, Laurent Perraut, a souhaité apporter son soutien à la famille qui vit «des moments difficiles« .

La discothèque où se sont produits les faits est fermée pour une durée de 30 jours.

 
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