Plusieurs députés de La France Insoumise dénoncés en plein vote « irrégularités » local, notamment à Toulouse.
Des cadres de LFI ont pointé dans la matinée plusieurs situations litigieuses sur le réseau social «n’étaient pas disposés sur les tables de vote» à Domont (Val-d’Oise). « Il a fallu une intervention de notre part pour les mettre en place. »
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En Haute-Garonne, le député Hadrien Clouet a dénoncé « premières irrégularités » à Toulouse dès l’ouverture des bureaux de vote, tandis que son collègue François Piquemal déplorait dans la matinée un « chaos électoral » dans la ville rose.
Dans le Val-d’Oise à la mi-journée, le député Aurélien Taché, soutien de LFI, a indiqué qu’il avait été radié des listes électorales, affirmant qu’il “un peu surpris” pour ne pas avoir été prévenu et avoir annoncé « intenter une action en justice pour être réintégré ». La mairie de Cergy a répondu qu’en réalité Aurélien Taché avait été radié le 6 mai 2022 mais que cela faisait suite «un rattachement à une autre commune».
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En début d’après-midi, la députée de l’Essonne Farida Amrani a également alerté sur le cas de “plus de 50 personnes, injustement licenciées par le maire d’Évry-Courcouronnes” et cela “est trouvé[aient] au tribunal de grande instance, certains depuis 10 heures du matin, pour être réintégrés ».
Ce type de protestation en temps réel contre l’organisation d’une élection nationale, rarissime en France, fait suite au slogan diffusé depuis plusieurs jours par Jean-Luc Mélenchon, qui voulait que LFI “déclenche une commission d’enquête sur le déroulement des élections en France”.
