Il vit la course sur Terre depuis son PC de sécurité, notre invité est le directeur du Vendée Globe à La Rochelle

Il vit la course sur Terre depuis son PC de sécurité, notre invité est le directeur du Vendée Globe à La Rochelle
Il vit la course sur Terre depuis son PC de sécurité, notre invité est le directeur du Vendée Globe à La Rochelle

Au lendemain du départ du Vendée Globe, le groupe est encore assez compact. Même sur Terre, la course est frénétique. En tête de la compétition, une équipe de cinq personnes se relaye pour assurer la sécurité des skippers. Parmi eux, le réalisateur est Hubert Lemonnier de La Rochelle.

Au lendemain du départ du Vendée Globe, la course autour du monde en solitaire, sans escale et sans assistance, la direction de course était ce matin l’invité du Bleu La Rochelle. Hubert Lemonnier est originaire de La Rochelle, il travaille dans les coulisses de la compétition depuis plusieurs années.
Pour la première fois, il est cette année l’hôte de la compétition à laquelle participent trois Charentais-Maritimes : Yannick Bestaven, le tenant du titre, Violette Dorange, la benjamine de l’épreuve et le Rais, Antoine Cornic. Hubert Lemonnier est parmi nous en direct des Sables d’Olonne

Son travail a débuté ce dimanche, avec le départ des 40 skippers. « Nous avions du vent léger, donc c’était assez long, mais il faisait très beau et ils ont bien démarré leur tour du monde » commentaire. Il l’apprécie plus de 10 000 spectateurs presente a Les Sables d’Olonne.

Il restera lui-même pendant les trois mois de course dans cette ville vendéenne. « Nous garantissons la sécurité des skippers, explique. Nous recevons leur localisation toutes les trente minuteset on s’assure que tout se passe bien, que les bateaux suivent un cap constant, à bonne vitesse. Et si nécessaire, nous pouvons réagir.” Il pourrait s’agir d’un échec matériel, voire d’un naufrage comme dans la précédente édition avec Kévin Escoffier.

Hubert Lemonnier se porte également garant en respectant le règlement de la concurrence. Vérifiez que les skippers ne reçoivent pas d’aide à la performance. “Technologiquement, nous avons des contrôles que nous pouvons faire sur la ligne d’arrivée ou à distance si nécessaire, mais ce n’est pas la mentalité de cette course.descrive Hubert Lemonnier.

 
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