«J’ai attrapé ce que je pouvais…» Elle coupe une partie du pénis de son partenaire après une scène de jalousie

«J’ai attrapé ce que je pouvais…» Elle coupe une partie du pénis de son partenaire après une scène de jalousie
«J’ai attrapé ce que je pouvais…» Elle coupe une partie du pénis de son partenaire après une scène de jalousie

l’essentiel
Lors d’une dispute avec son compagnon, une femme de 37 ans lui a coupé une partie du pénis. Les deux amoureux ont été jugés ce vendredi pour violences mutuelles.

«J’ai attrapé ce que je pouvais. Ce n’était pas intentionnel», assure cette femme de 37 ans, à la barre du tribunal correctionnel de Toulouse ce vendredi matin. Elle est soupçonnée d’avoir volontairement arraché une partie du pénis de son partenaire. Les deux personnes, désormais séparées, ont été jugées pour violences mutuelles.

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Comme révélé La Dépêche du Midi à l’époque, tout s’est passé dans la soirée du 10 juillet 2024, peu après minuit, à Portet-sur-Garonne, au sud de Toulouse. Après une soirée bien arrosée, un homme de 46 ans rentre chez lui. Pendant qu’il se douche, sa compagne s’intéresse à son téléphone portable. Elle y découvre des échanges de messages avec une autre femme. La suite est ultra-violente. « En sortant des toilettes, mon client a été violemment frappé au visage. Son tympan était percé. Ensuite, sa femme lui a attrapé le sexe et lui a coupé la peau», raconte Me Kamel Benamghar, l’avocat du père. .

La blessure est impressionnante. Le sang coule à flots dans toute la maison. La victime court se rendre au commissariat le plus proche. « Les lésions sur le pénis du blessé sont graves », explique le président du tribunal. Cette blessure nécessite 18 points de suture », ajoute M. Benamghar. A côté de lui, son client apparaît extrêmement gêné. Tout le contraire de l’ancienne concubine, qui se déchaîne. Furieux suite aux questions de M. Benamghar, ce trentenaire n’hésite même pas à quitter provisoirement la salle d’audience.

Il place un « tracker » sous sa voiture

Ensuite, la dame se calme et revient quelques minutes plus tard. « Les investigations menées par les militaires de la brigade communautaire de Portet-sur-Garonne démontrent des violences mutuelles entre ce couple », rappelle le juge.

En décembre 2023, le quadragénaire, sans nouvelles de sa fille depuis des semaines, place un « tracker » sur le véhicule de son ex. Un petit GPS qui lui permet de découvrir sa nouvelle adresse. L’individu s’est alors mis en colère. « Elle a été battue. La médecine légale en atteste», plaide son avocat.

Finalement, elle a été condamnée à six mois de prison avec sursis. Le blessé, déjà reconnu coupable de nombreux crimes, est placé en détention à son domicile.

 
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