Ce mercredi matin, les résultats partiels de l’élection présidentielle américaine sont annoncés. une certaine victoire pour le candidat républicain Donald Trump. En effet, cette dernière a consolidé son avance dans la majorité des « Swing States », ces États charnières qui jouent un rôle crucial dans la détermination du vainqueur. Alors que Trump est largement en avance dans des États clés comme la Géorgie, la Caroline du Nord, la Pennsylvanie, le Michigan et le Wisconsin, il semble désormais certain qu’il atteindra les 270 électeurs nécessaires pour remporter la présidence face à sa rivale démocrate Kamala Harris.
Actuellement, Trump peut déjà compter sur 248 grands électeurs, tandis que Kamala Harris n’en compte que 205. Même si le décompte se poursuit, les experts estiment que Donald Trump a déjà gagné. La victoire en Géorgie, annoncée ce matin par plusieurs médias américains, dont le New York Times et CNNrenforce sa position stratégique. Mathématiquement, la victoire de Trump est assurée.
Un discours attendu pour marquer la victoire
Alors que le suspense se dissipe et que les résultats définitifs approchent, Donald Trump pourrait prendre la parole dans les prochaines heures pour annoncer par avance sa victoire. Cette déclaration très attendue pourrait confirmer ce que les chiffres semblent indiquer : une nouvelle ère pour le leadership américain sous Trump. La probabilité de victoire calculée par le modèle de New York Timessur la base des sondages à la sortie des urnes et des résultats partiels, donne à Trump une chance de victoire de plus de 96%renforçant encore davantage la confiance des électeurs républicains.
Un scénario historique qui marque le retour de Trump
La campagne présidentielle de Donald Trump en 2024 se distingue par un retour en force, marqué par un message de revitalisation économique et de renforcement des politiques de sécurité nationale. En obtenant le soutien des électeurs dans les États swing et en capturant des voix précieuses dans des bastions historiquement contestés, Trump a démontré sa capacité à rassembler une large base d’électeurs américains, même après une première présidence controversée.
Abderrazzak Boussaid/Le7tv
