« Il faut que nous finissions le travail »

« Il faut que nous finissions le travail »
Descriptive text here

Alors que les Maritimes ont gagné le jeu de la peur Ligue 2 face au QRM la semaine dernière, revenu au score (2-1), le club de Dunkerque a vu la rencontre entre Troyes et Valenciennes interrompue avant sa fin en raison de jets de fumigènes sur la pelouse du Stade de l’Aube. Un événement qui rend la course au maintien bien étrange puisque l’ESTAC compte désormais un match de retard, qui ne sera sans doute pas rejoué, sur ses concurrents directs. Pour Luis Castro, il n’est toujours pas question de se relâcher lors de la 37e journée, malgré l’avance significative de son équipe. Toujours sans Gnanduillet, Thiam ni Mughe, l’entraîneur de Dunkerque devra composer une formation compétitive face au Stade Malherbe puisque jusqu’à preuve du contraire, l’USLD n’est pas encore totalement sauvée.

A lire aussi >>SM Caen – Ali Abdi forfait contre Dunkerque, Anthony Mandréa incertain !

« Ce n’est pas fini, c’est important de rester concentré. Comme je le dis habituellement, nous sommes bien meilleurs aujourd’hui qu’en 2023. Mais nous devons finir le travail, le match de demain sera très, très important. […]. Troyes-Valenciennes, ce n’est pas quelque chose que je peux contrôler. C’est normal que j’ai mon avis sur le sujet, mais je ne contrôle mon équipe que contre Caen. C’est sur cela que je vais travailler. C’est important de faire un bon match, je pense que nos supporters viendront au stade car ils voient tous les efforts que font les joueurs, notamment en 2024 pour maintenir le club. Dans tous les matches, ils donnent le meilleur d’eux-mêmes. On ne peut pas gagner tous les matchs, c’est normal, mais je pense que les joueurs méritent de jouer avec le 12ème homme. »

« La pression est la même pour moi. Lorsque vous êtes coach, votre travail consiste à passer un examen chaque semaine. Il y a des emplois dans lesquels, au cours d’une année, si vous réussissez bien ou mal au travail, rien de différent ne se produit. Mais les entraîneurs doivent passer l’examen chaque semaine, avec des personnes qui peuvent juger si les joueurs ont travaillé ou non. Il y a aussi une autre équipe de l’autre côté et souvent une équipe gagne et l’autre perd. Celui qui perd peut aussi bien travailler, mais les deux adversaires ne peuvent pas gagner tous les deux. Je garde donc la pression à 100%. Je travaille avec la même intensité, la même concentration, on regarde Caen comme on regarde tous les autres clubs. Si on ne le fait pas, on perd le match, c’est sûr. Si vous n’êtes pas concentré à 100% en Ligue 2, vous perdrez c’est sûr. »

Photo Anthony Bibard/FEP/Icon Sport

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Kleptocratie et besoin urgent de réforme « Khabarhub – .
NEXT Moins d’agitation pour la journée pour lutter contre l’homophobie