Ce que j’ai appris lors de mon voyage humanitaire en Afrique

Ce que j’ai appris lors de mon voyage humanitaire en Afrique
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Alors, le 28 mars, je suis parti pour deux semaines au Sénégal. La première semaine a été consacrée au bénévolat dans des orphelinats, à la distribution de sandwichs aux enfants des rues et à l’aide aux habitants des villages reculés. Chaque jour apportait son lot d’émotions et de défis, me plongeant dans une réalité que je n’avais jamais vécue auparavant.

Puis, durant la deuxième semaine, j’ai eu l’occasion de découvrir le Sénégal sous un autre angle, en séjournant chez un ami dans ce qu’on pourrait qualifier de « Westmount » du pays.

Quelle dualité !

A la fin de la première semaine, j’avais envie de tout vendre, de vivre la simplicité volontaire presque extrême que j’avais rencontrée. Puis, à la fin de la deuxième semaine, je me suis dit… peut-être pas après tout !

Ce voyage m’a appris de nombreuses leçons, mais l’une des plus importantes est la suivante :

La culpabilité ne contribue pas à faire une différence dans le monde, bien au contraire.

Au début de ma deuxième semaine, alors que j’étais assis dans un appartement valant quelques centaines de milliers de dollars, que je mangeais des fruits frais, du jus vert, des croissants, que j’avais accès à tout ce que je voulais manger et que je dormais dans un lit confortable après avoir pris une douche chaude. tous les soirs, je me souvenais que, quelques jours auparavant, je faisais du bénévolat dans des orphelinats, berçant des bébés qui étaient là depuis leur naissance, certains d’entre eux, que je jouais avec des enfants qui n’avaient jamais vu de frisbee et qui étaient si heureux d’avoir de nouveaux des ballons gonflés !

Je me souviens que quelques jours auparavant, nous avions préparé et distribué des sandwichs aux enfants des rues : un morceau de baguette au nutella et un sachet de caillé sucré. Les sourires sur leurs visages, le « pouces vers le haut» quand ils ont vu le nutella, c’était un pur délice !

Je me souviens que quelques jours auparavant, un petit garçon vendait son sac de caillé qu’il venait de recevoir pour obtenir de l’argent, car s’il rapportait de l’argent, il aurait un endroit où dormir le soir.

Et là, assis dans cet appartement, avec mon jus vert, mes fruits frais, j’étais face à deux options :

  1. Se sentir coupable
  2. Décider de contribuer

Nous ne pourrons jamais éliminer la souffrance et la pauvreté. Nous ne pourrons jamais aider tout le monde.

Blâmer ne changera pas le monde et ne fera aucune différence. Minimiser notre ambition « parce que les autres ont moins que nous » ne sert personne.

Combien de fois ai-je entendu des entrepreneurs minimiser leur ambition avec…

  • On ne peut pas tout avoir dans la vie
  • Il y en a qui ont moins que moi
  • Quand on se compare, on se console

Combien de fois est-ce que je discute avec des entrepreneurs qui ne veulent pas parler de leur réussite, de leurs réalisations, du fait que les choses vont bien – voire très bien – parce qu’ils ne veulent pas que les autres se sentent mal ? Nous nous racontons…

  • Personne n’aime ceux quiperdre leurs bretelles
  • Personne n’aime quelqu’un qui se jette des fleurs

Ces expressions nous amènent à limiter notre potentiel, elles ne servent personne. Parce que personne ne gagne si vous jouez la carte de la culpabilité, si vous jouez petit, si vous baissez vos ambitions, si vous n’osez pas voir plus grand, être à la hauteur de vos rêves.

La responsabilité de l’entrepreneur est de démontrer ce qui est possible. Nous sommes devenus entrepreneurs parce que nous avons une envie de plus, une envie de liberté, une envie de décider des règles du jeu de la vie.

L’abondance, c’est donner dans un espace de confiance qu’il y en aura toujours assez (et même plus)

L’abondance montre à ceux qui recherchent le monde des possibilités comment y arriver

L’abondance, c’est offrir plus et mieux

Soyons fiers de ce que nous accomplissons

Soyons fiers de nos ambitions

Soyons fiers de notre réussite (selon VOTRE définition !)

La culpabilité ne changera pas le monde, ne fera aucune différence.

MAIS la contribution OUI !

Contribuez à créer un monde où nous nous permettons de voir grand.

Contribuer à un monde où vivre pleinement sa vie est la norme.

Contribuez à aider vos clients à voir plus grand, à voir que leurs rêves sont possibles.

Décidez qu’à partir d’aujourd’hui vous jouerez la carte de la contribution et non celle de la culpabilité.

Réussissez-vous ? Bravo, parlez-en !

Avez-vous des projets ? Bravo, réalisez-les et parlez-en !

Avez-vous des rêves ? Bravo, réalisez-les et parlez-en !

Si nous voulons changer le monde, faire la différence, nous le faisons en l’incarnant, en montrant la voie, en en parlant.

Et c’est notre responsabilité numéro 1.

Dans ma prochaine chronique, je vous parlerai de ma deuxième observation suite à ce voyage… mais je suis encore en grande introspection, car elle est d’une profondeur que j’ai moi-même du mal à réaliser.

En attendant… contribuez !

Personne n’est en affaires pour accumuler de l’argent, gagner de l’argent juste pour gagner de l’argent.

Avoir une entreprise, gagner de l’argent – ​​gagner beaucoup d’argent – ​​nous permet de contribuer davantage. Soyons fiers de cette mission !

C’est toujours avec plaisir que je lis vos commentaires. Vous pouvez me joindre ici et rester en contact avec moi via : LinkedIn, Facebook, YouTube et Instagram

 
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