« Plus que jamais, le combat est un combat pour la liberté et la paix »

« Plus que jamais, le combat est un combat pour la liberté et la paix »
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Hier matin, un hommage a été rendu aux victimes de la déportation.

À l’heure où le monde se divise en courants de pensée montants et où des actes extrémistes sont perpétrés, cette journée nationale du souvenir de la déportation est, à tout le moins, un appel à l’éveil des consciences et au respect de toutes les victimes humaines du régime nazi. système de camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale.

En présence de Gérard Forcada, maire de Lézignan-Corbières, des élus municipaux, de la conseillère départementale Valérie Dumontet, des représentants d’associations patriotiques, de la Croix , de la police municipale, des pompiers, des citoyens, des collectifs, dans un premier temps, réunis au jardin mémorial Arnaud-Beltrame , place du 8-Mai, pour déposer une gerbe sur la stèle commémorative.

Une cérémonie animée par Daniel Maurel, président des Médaillés Militaires de Lézignan.

Par la suite, le cortège s’est dirigé vers le cimetière, pour rendre hommage à toutes les victimes de la déportation.

Une fois les différentes gerbes déposées, place a été laissée aux différents discours, celui de Gérard Forcada, maire et de Sylvestre Mikolajewsky, président du comité de coordination (message rédigé conjointement par la Fédération Nationale des Déportés, Internés et Familles de Disparus, la Fédération des déportés et internés de la Résistance, Unadif-FNDIR et avec l’aide des associations de mémoire des camps).

Gérard Forcada a rappelé que : « Le 14 avril 1954, il y a 70 ans, par une loi votée à l’unanimité, il était décidé de faire du dernier dimanche d’avril la journée nationale du souvenir des victimes de la déportation. Et de dire, que cette journée « n’est pas et ne sera jamais comme les autres et que plus que jamais le combat est celui de la liberté et de la paix ».

45 000 humains ont été déportés

Aujourd’hui, 48 % des humains dans le monde tentent de survivre dans des pays en guerre. Il est donc impossible d’ignorer que le danger est toujours omniprésent. N’oubliez jamais que 45 000 humains (Juifs, Tsiganes, résistants) furent déportés de ainsi que plusieurs milliers de ressortissants français furent arrêtés sur le territoire du Reich pour rébellion ou actes hostiles, et furent à leur tour envoyés dans des camps de concentration.

 
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