PORTRAIT – À 38 ans, le sauteur en longueur s’apprête à vivre ses sixièmes Jeux, avec l’ambition de monter une dernière fois sur le podium. Sans pour autant perdre de vue son engagement pour une plus grande inclusion.
Au Festival de Cannes en mai dernier pour porter la flamme olympique. A l’Olympia du 22 au 24 juillet pour un spectacle de danse contemporaine – intitulé À l’unisson -, organisé dans le cadre de l’Olympiade culturelle, à laquelle il a participé. Et ce mardi, à partir de 10 heures, au Stade de France pour disputer la finale du saut en longueur de ce qui sera ses sixièmes Jeux paralympiques. Arnaud Assoumani est à l’aise dans tous les domaines. Tel un caméléon se transformant d’un espace artistique en arène sportive et, qui sait, peut-être un jour, en assemblée politique, lui qui n’a jamais hésité à s’impliquer dans tous les domaines sociétaux, pour lutter contre les préjugés, les inégalités, le racisme…
« Les sportifs ont certainement un rôle à jouer, même si tous ne sont pas naturellement impliqués.il nous l’a dit il y a un an. Je suis devenu un sans avoir le sentiment d’avoir le choix de ce que je pouvais expérimenter ou observer. J’ai continué…
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