la critique de son nouvel album The Tortured Poets Department

la critique de son nouvel album The Tortured Poets Department
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Taylor Swift Belga Image

Débarqué sur les plateformes ce vendredi 19 avril à 6 heures du matin, « The Tortured Poets Department » est le onzième album studio de l’auteure-compositrice-interprète américaine Taylor Swift. Il l’a annoncé lors de la 66e cérémonie des Grammy Awards le 4 février 2024. Le disque comprend seize chansons dans son édition standard et un morceau supplémentaire dans son édition de luxe, intitulé Le manuscrit. « The Tortured Poets Department » est produit par Taylor Swift, Jack Antonoff et Aaron Dessner de The National. Taylor Swift a écrit et composé tous les morceaux de ce disque qui accueille deux invités prestigieux : le rappeur new-yorkais Post Malone sur Quinze jours et l’artiste pop anglaise excentrique Florence Welsh (Florence + The Machine) sur l’énergique Floride !!!.

C’est Quinze jours qui ouvre « The Tortured Poets Department » et qui est le premier extrait du disque. Assurément un hit porté par des nappes de synthés et une voix très glamour, à l’image de Lana Del Rey, de Taylor avant que Post Malone ne lui réponde dans le refrain” Je t’aime, je te touche « . Une chanson d’amour, vous l’aurez deviné, aux saveurs pop des années 80. On reste dans les synthés et dans l’excellence avec le titre titulaire Le département des poètes torturés. Voix mixtes, refrains imparables, refrains crescendo pour une chronique sentimentale de haut vol. La jolie Mon garçon casse ses jouets préférés et une autre ballade intitulée En bas mauvais confirment la palette sonore de cette nouveauté de la star américaine omniprésente. Soit du pop/rock aux fortes influences Eighties, croisant les inclinaisons rythmiques de son blockbuster « 1989 » et les reflets mélancoliques de « Midnights ».

Chansons de rupture

Et les textes ? Plusieurs chansons reviennent sur des relations fanées. Au revoir, Londres est plus que certainement inspirée par sa liaison avec l’acteur anglais Joe Alwyn qui a duré six ans (de 2016 à 2023). Soutenu par une ligne de basse audacieuse qui flirte avec les nappes de claviers. Taylor parle des bons moments mais aussi des jours de blues, de trahison et même d’une « tragédie ». Je peux le faire avec un cœur briséun autre gros hit potentiel qu’il devrait inclure dans la partie européenne de son Tournée des époques qui débute ce 9 mai à Paris, et Le plus petit homme qui ait jamais vécu (la presse anglaise y voit une allusion au cad Matty Healy, le chanteur nain du groupe médiocre 1975) sont deux autres chansons de rupture.

Dans les autres grands moments d’un disque finalement assez calme, on citera aussi Mais papa, je l’aimeboosté, quant à lui, par un refrain plus rythmé et une grosse batterie. Clara Arc, qui clôt l’album, rend hommage à l’actrice américaine du même nom, née le 29 juillet 1905 à New York et décédée le 27 septembre 1965 à Culver City, considérée comme l’un des premiers sex-symbols du cinéma muet. Principalement connue sous le nom de It Girl d’après le film Love at First Sight de 1977, Calra Bow a été victime de nombreux potins. Notre titre préféré étant Je peux réparer (pas vraiment je peux), road trip imaginaire sur le thème du regret où Taylor Swift renoue avec ses racines country et la pureté acoustique de son chef-d’œuvre « Folklore ». Une guitare slide, une voix pure, des cordes pincées. Sur ce terrain, elle n’a aucune leçon à tirer. C’est merveilleux.

Taylor Swift, Département des poètes torturés, Universal Music.

 
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