« Il ne fallait absolument pas que la flamme olympique soit kidnappée », ce Lot-et-Garonnais raconte comment il a contribué à l’organisation des

« Il ne fallait absolument pas que la flamme olympique soit kidnappée », ce Lot-et-Garonnais raconte comment il a contribué à l’organisation des
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« Ce fut vraiment un grand succès populaire. » Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas, Jean-Paul Quioc, 74 ans, désormais basé à Guérin (47), se souvient, non sans…

« Ce fut vraiment un grand succès populaire. » Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas, Jean-Paul Quioc, 74 ans, désormais basé à Guérin (47), se souvient, non sans une pointe de fierté, de sa participation à l’organisation du passage de la flamme en . , dans le cadre des Jeux Olympiques d’hiver d’Albertville, en 1992.

La Poste, où il travaillait à l’époque, était l’un des partenaires de l’événement. « Dans le cadre de mes fonctions là-bas, j’ai eu l’honneur d’être l’un des commissaires adjoints chargés du parcours de la flamme », se souvient-il. Sa mission : organiser l’itinéraire entre les 22 régions qu’il traverse, et créer une « journée olympique » dans quelque 60 départements et 2 000 communes. « Il était important de ne rien manquer, pour que chacun puisse partager la magie des qui unissaient toutes les populations autour d’un symbole de lumière, synonyme de paix. C’était une organisation au millimètre près », se souvient-il.

De la Grèce au -Ouest

Parmi les grands moments de cette année-là, les Guérinais participent notamment au déplacement à Olympie pour l’éclairage du temple d’Héra, avant de ramener la flamme à Paris. « C’était en décembre 1991, je me souviens encore de la chaleur du soleil qui contrastait avec celui de la France. »

Puis, après plus d’un an de travail, quelque 5 500 jeunes porteurs, âgés de 15 à 20 ans, entourés d’une équipe de 1 100 postiers dans leur escorte, partent à leur tour porter le fameux flambeau dans l’Hexagone. « Il y a eu des problèmes de sécurité majeurs, il ne faut pas kidnapper la flamme », sourit le septuagénaire.

Sur le parcours, une étape relie Périgueux à Bordeaux. « Je n’ai jamais vu autant de monde aux Quinconces de ma vie. Les anciens me disaient qu’il fallait retourner à la Libération pour ça ! Alors, en 2024, il faudra que j’aille à Bordeaux pour voir si le passage de la flamme est aussi impressionnant, c’est indiscutable. Dans une vie, il est rare de pouvoir assister deux fois à un tel événement. »

 
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