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La principale suspecte du meurtre de la petite Lola, Dahbia B., a de nouveau fait l’objet d’une expertise psychiatrique. Elle était pleinement consciente de ses actes lorsqu’elle a attaqué l’adolescente.
Une nouvelle expertise qui ouvre la possibilité d’un procès aux assises. Dahbia B., principale suspecte du viol et du meurtre de Lola, une écolière de 12 ans dont le corps a été retrouvé le 14 octobre 2022, “ne souffrait pas d’un trouble psychiatrique aliénant au moment des faits”, révèlent deux experts psychiatres dont le rapport a été rendu public par BFMTV lundi 1er avril.
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“Nous ne sommes pas en mesure d’éclairer la survenance des faits d’un point de vue médical malgré la monstruosité des faits allégués et leur caractère apparemment non motivé”, écrivent les deux praticiens, qui concluent donc que le discernement de Dahbia B., à l’époque du viol et du meurtre de Lola, n’a pas été modifié.
« Accessible à la sanction pénale »
Autrement dit, cette Algérienne de 25 ans, qui a reconnu les faits, est « accessible à une sanction pénale et peut répondre de ses actes devant un tribunal », indique encore ce rapport. Des conclusions qui rejoignent ainsi celles formulées fin mars, qui avaient déjà confirmé la responsabilité pénale du suspect.
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Les circonstances tragiques de la mort de Lola, une écolière de 12 ans, dont le corps a été retrouvé le 14 octobre 2022 dans une malle, ont suscité une grande émotion et une forte médiatisation. Dahbia B., a été mise en examen pour meurtre et viol aggravé puis placée en détention provisoire.
