En France, la semaine de quatre jours sans réduction du temps de travail est-elle vraiment un outil de bien-être ? – .

En France, la semaine de quatre jours sans réduction du temps de travail est-elle vraiment un outil de bien-être ? – .
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Publié le 26 mars 2024 à 18h27 / Modifié le 26 mars 2024 à 20h58

Début 2023, face à la colère contre sa réforme des retraites, la Première ministre française de l’époque, Elisabeth Borne, affirmait que « pour un certain nombre de citoyens, le sujet n’est pas de travailler encore deux ans » mais d’être plus heureux dans leur travail. . Des mesures avaient alors été promises pour compenser les sacrifices de la réforme par des progrès en matière de bien-être au travail.

Le tout jeune ministre du Budget de l’époque, un certain Gabriel Attal, en profite pour mettre en avant la semaine de quatre jours expérimentée dans certains organismes chargés de collecter les cotisations des salariés (Urssaf). “Je crois que beaucoup de Français aspirent aujourd’hui à travailler différemment” et sont “favorables à plus de libertés dans leur organisation”, a-t-il déclaré. A cette époque, l’initiative n’avait séduit que trois salariés sur les 250 agents de l’agence picarde concernée.

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