Vidéo de l’agression d’un adolescent à Lyon : une interpellation effectuée

Vidéo de l’agression d’un adolescent à Lyon : une interpellation effectuée
Vidéo de l’agression d’un adolescent à Lyon : une interpellation effectuée

Les circonstances semblent devenir plus claires.

Depuis ce jeudi après-midi, une vidéo est diffusée sur les réseaux sociaux, montrant une adolescente se faisant tabasser par au moins deux autres jeunes filles dans une cage d’escalier. L’attaque très violente aurait eu lieu dans le 9e arrondissement de Lyon selon la personne qui a posté les images.

Selon nos confrères de https://twitter.com/AmauryBucco/status/1735465612078420097, les faits ont bel et bien eu lieu le 10 octobre, vers 18 heures, dans la capitale des Gaules. La victime serait une jeune fille de 13 ans qui a d’abord été « attirée hors de l’école par un ami dans le sous-sol d’un immeuble ».

Elle aurait ensuite été agressée par non pas deux, mais trois autres filles, tandis qu’une quatrième filmait ce passage à tabac d’une violence inouïe. Des gifles ont été données, au moins un genou à la tête également, tandis qu’un des agresseurs a tenté à plusieurs reprises d’arracher les cheveux de la victime qui l’a supplié de mettre un terme au déchaînement de violence.

Toujours selon Valeurs actuellesla jeune fille frappée aurait déclaré avoir été « victime d’une agression sexuelle de la part d’un certain Yassine », la sœur de l’accusé a ainsi voulu se venger, d’où les mots « reparler de mon frère », audibles dans l’insupportable clip vu au moins 450 000 fois.

La victime aurait fini par perdre connaissance. Elle a finalement « réussi à s’extirper de cette cave », avant d’être abordée par un groupe d’hommes « qui semblent complices de cette expédition punitive », et qui ont tenté de lui voler son téléphone. C’est finalement un passant qui a donné l’alerte en contactant les pompiers. Deux jours plus tard, une plainte était déposée.

Ce jeudi, selon une Source policière, l’une des suspectes s’est présentée dans la soirée dans un commissariat pour déclarer qu’elle avait été victime de menaces depuis la diffusion de la vidéo sur les réseaux sociaux. Une enquête devrait être ouverte, en plus de celle sur les violences.

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