Croiser Bruce Springsteen, le « Boss », à Bruxelles n’est pas donné à tout le monde. Marleen Dequidt et Frank Dufour en ont profité avec enthousiasme. « Sa signature sur mon bras, il fallait que je l’immortalise. »
À 62 ans, elle s’est assise pour la première fois sur la chaise d’un tatoueur lundi après-midi. Pas pour un papillon ou son dicton préféré, mais pour la signature de Bruce Springsteen. La signature qu’il avait lui-même apposée sur son bras. « En tant que fans, nous savions que Springsteen était dans notre pays. Mon partenaire Frank l’avait déjà rencontré à plusieurs reprises et connaissait également quelques personnes de son entourage. Nous étions en fait à Bruxelles dans l’espoir de croiser quelqu’un de l’entourage. Mais voilà que nous sommes tombés par hasard sur Bruce lui-même, en compagnie de sa sœur. Ils étaient allés visiter la Grand-Place de Bruxelles. »
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Marleen et Frank, en super fans, n’hésitent pas et serrent la main de Bruce. « Frank a assisté à plus de 170 concerts, la plupart au premier rang. C’est pourquoi Springsteen le reconnaît heureusement. Je le verrai pour la douzième fois à Werchter », raconte Marleen. « Lui serrer la main était phénoménal. Je tremblais littéralement des jambes, réalisant que tant de fans le demanderaient, mais nous avons eu de la chance. Je lui ai demandé un autographe sur mon bras. J’ai tout de suite su que je voulais immortaliser cela dans un tatouage, et je le lui ai dit. » Le couple a cherché dans toute la ville dimanche soir, mais aucun salon de tatouage n’était ouvert. Ils ont donc dû attendre, et faire attention, jusqu’à lundi après-midi. (Continuez à lire sous la photo)
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Et Marleen ne tremblait pas seulement lorsqu’elle a pu regarder Bruce dans les yeux de près, mais aussi lorsque le tatoueur s’est approché avec son aiguille. « J’ai vraiment une énorme phobie des aiguilles. C’est pourquoi je n’avais pas encore de tatouages. Je les ai toujours trouvés très beaux. J’avais vu d’autres fans avec des dessins sur le corps lors de concerts. Mais j’ai moi-même une peur bleue des aiguilles. Et pourtant, la décision de se faire tatouer a été immédiate. » La Flandrienne persévère et réussit miraculeusement à mettre ses craintes de côté. « Au final, tout s’est très bien passé. J’aime tellement ça que je pourrais même me faire tatouer un morceau des paroles d’une chanson de Springsteen. »
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