Les industries créatives ne peuvent pas enregistrer et protéger les « œuvres » créées par l’IA. En l’état, c’est une bénédiction pour les auteurs : seuls les humains peuvent vivre de leur plume.
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Journaliste au service de la Culture
Par Alain LallemandPublié le 28/03/2024 à 14h39
Temps de lecture : 1 min
En comment l’intelligence artificielle modifiera-t-elle demain notre littérature ou les scénarios des films et séries que nous consommons ? Puisque des romans entiers ont déjà été écrits grâce à l’intelligence artificielle, puis auto-édités et mis en vente sur les plateformes numériques, la mort des auteurs de fiction n’est-elle pas écrite dans les étoiles ? Et cette capacité à générer de la fiction ne signe-t-elle pas la fin des scénaristes et des dialoguistes ? Et qu’en est-il des traducteurs, apparemment devenus obsolètes ?
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