pourquoi Standard s’enlise dans les prêts

Les locations en Belgique ne comptent pas

Compte tenu de la situation financière du club, le mercato liégeois se compose quasi exclusivement de transferts temporaires. Cependant, le quota maximum a déjà été atteint.

Outre ses trois prêts « belgo-belges » que sont Ilay Camara (RWDM,) Dennis Ayensa (Union) et Andi Zeqiri (Genk), le Standard compte désormais six prêts internationaux (Bulat, Alexandropoulos Djukanovic, Badamosi, Hountondji et Szalai), soit le maximum autorisé par la Fifa depuis cette saison (lire par ailleurs).

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C’est un secret de polichinelle : pour remodeler son effectif au cours du mois de janvier (et comme Ivan Leko espère encore au moins un renfort), la RSCL cherche depuis plusieurs jours, voire semaines, à écourter le prêt de Viktor Djukanovic. Mais son employeur, le club suédois Hammarby IF, ne s’est pas montré très coopératif jusqu’à présent.

Le Standard envisagerait également de « couper » (comme on dit dans le jargon) le milieu de terrain croate Marko Bulat. Titulaire dès les douze premiers matches, il s’est lentement mais sûrement glissé sur le banc, au point de ne jouer qu’une poignée de secondes lors des trois derniers matches. Un déclassement qui a plongé Bulat dans un désarroi qu’il peine à cacher. Mais, là aussi, le Standard se retrouve dépendant des intentions du club prêteur, en l’occurrence le Dinamo Zagreb.

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En attendant, le mercato liégeois est suspendu. Car tant que le Standard n’a pas libéré au moins une place dans son quota de six prêts internationaux, il ne peut en compléter aucune autre(s). Il lui reste encore trois solutions pour recruter : des joueurs prêtés par un club belge, des transferts permanents ou des joueurs libres.