Luis Enrique, entraîneur du PSG, estime que les mauvais résultats du PSG ne sont pas uniquement de sa responsabilité.
Vous devez savoir ce que vous voulez. Lorsque Luis Enrique a fait jouer le PSG sans avant-centre formé, il a été critiqué. Lorsqu’il aligne Gonçalo Ramos, comme face au FC Nantes samedi soir (1-1, 13e journée de Ligue 1), l’entraîneur espagnol doit encore subir des attaques quant à l’efficacité offensive de son équipe. C’est ce que l’on peut comprendre de ses propos tenus en conférence de presse après l’échec contre les Canaris à domicile.
Le coach espagnol en a profité pour égratigner ses « amis » journalistes. ” Je ne sais pas qui a dit ou demandé tant de fois, le faux neuf, le faux neuf, le faux neuf. Maintenant, il y a quelque chose de nouveau. Et que s’est-il passé ? C’est une blague, mais c’est la réalité. C’était la nouveauté, la solution. Et si nous ne marquons pas avec ça pendant quatre matches, que dirons-nous d’autre ? ? »
Le handball suffit
« La solution ne vient pas d’un joueur. Dans cette équipe, ce n’est pas qu’un joueur, c’est le collectif », insiste Luis Enrique. On ne peut pas lui en vouloir, surtout quand on regarde les statistiques de ce PSG-Nantes. Les joueurs parisiens ont tiré 24 fois au but. Leur entraîneur n’est pas directement responsable de cette maladresse, d’autant que certaines situations étaient très favorables pour inscrire un but supplémentaire.
En revanche, un autre chiffre n’efface pas Luis Enrique. Plus de 1 000 passes ont été échangées par les joueurs du PSG. UN
dossier très inutile et qui porte la marque Enrique. Obsédé par la possession du ballon, l’ancien sélectionneur espagnol a développé depuis des années un style de jeu « handball ». Très souvent ennuyeux et pas fait pour franchir les lignes vers le but adverse.
Related News :