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Jim Montgomery envoie un message poignant à Martin St-Louis

Le message de Jim Montgomery à ses joueurs, particulièrement à David Pastrnak, est un exemple de fermeté que plusieurs partisans du Canadien aimeraient voir de la part de Martin St-Louis.

Montgomery n’a pas hésité à envoyer un message fort en mettant sur le banc son meilleur joueur, Pastrnak, pendant toute la troisième période d’un match contre Seattle, malgré l’importance de l’attaquant pour l’équipe et son statut de capitaine adjoint.

Ce faisant, Montgomery montre que personne, pas même une superstar gagnant 11,25 millions de dollars par an, n’échappe à la responsabilité de tout donner à chaque quart de travail.

Lorsqu’il a jugé que Pastrnak n’avait pas suffisamment sécurisé la rondelle et permis à l’adversaire de se créer trop d’occasions, il l’a mis de côté, sans concession… et avec courage…

Cette fermeté soulève une question que de nombreux observateurs se posent de plus en plus à propos de Martin St-Louis : pourquoi St-Louis n’applique-t-il pas la même autorité envers ses vétérans ?

Josh Anderson, Christian Dvorak, Joel Armia ou encore Mike Matheson, les dangers publics de leur région, bien que bien payés et expérimentés, continuent de commettre des erreurs, mais semblent protégés par une immunité que le public commence à trouver insupportable.

Contrairement à Montgomery, Saint-Louis évite de confronter ainsi ses principaux acteurs.

Est-ce « trop mou » pour imposer la discipline nécessaire ?

Les Canadiens traversent une période où les erreurs répétées plombent la performance de l’équipe. Toutefois, l’absence de sanctions visibles laisse penser que le vestiaire fonctionne selon une « justice à deux vitesses » – des jeunes comme Arber Xhekaj et Juraj Slafkovsky semblent payer cher leurs erreurs, tandis que les vétérans bénéficient d’un traitement dans la ouate.

Les critiques se multiplient donc autour de la direction de St-Louis, surtout quand on compare sa méthode à celle de Montgomery, qui démontre sans hésiter qu’il est prêt à rappeler à l’ordre n’importe quel joueur.

Pour Martin St-Louis, la situation pourrait devenir critique si les Canadiens continuent de stagner… voire de régresser.

Le message de Montgomery résonne comme un rappel : pour espérer que ses joueurs se surpassent, un entraîneur doit savoir être ferme, même avec les stars.

Quel courage.

Car la décision de l’entraîneur des Bruins est intervenue après plusieurs erreurs de Pastrnak, dont deux revirements en 14 minutes et 21 secondes de jeu.

À la fin de la troisième période, Pastrňák n’est revenu que brièvement sur la glace lors d’un temps mort commercial. Il a ensuite effectué quelques tours rapides avec la rondelle avant de retourner au banc, indiquant clairement qu’il ne reviendrait pas sur la glace pour le reste du match.

Montgomery a ensuite refusé de donner plus de détails sur la raison de la punition, affirmant seulement qu’il s’agissait d’une « décision de l’entraîneur ».

L’incident montre la volonté de Montgomery d’inculquer une discipline stricte et de rappeler aux gens que personne n’est au-dessus de l’équipe.

Dans une saison où les Bruins n’ont pas encore trouvé leur rythme habituel, ce message ferme était nécessaire.

Montgomery, qui a également haussé le ton contre Brad Marchand plus tôt dans la saison, semble prêt à user de toute la fermeté nécessaire pour redresser la situation, quitte à punir ses meilleurs éléments.

Alors pourquoi Martin St-Louis refuse-t-il de punir ses vétérans qui sont TERMINÉS ?

J’espère qu’il a pris des notes. Le message qu’il reçoit en face… est impitoyable…

 
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