Slafkovsky a envie de vomir quand il regarde ses matchs du début de saison

Slafkovsky a envie de vomir quand il regarde ses matchs du début de saison
Slafkovsky a envie de vomir quand il regarde ses matchs du début de saison

Il semble que le scénario de l’année dernière se répète pour Juraj Slafkovsky.

Il a connu un début de saison très ordinaire… Mais il joue du très bon hockey depuis quelques matchs.

Le grand attaquant a marqué lors de trois de ses quatre derniers matchs et ce n’est pas un hasard : il a (re)commencé à utiliser son corps pour déranger l’adversaire et créer des jeux sur la glace.

Nous avons vu à quel point il peut être bon lorsqu’il est au sommet de sa forme et qu’il profite de ses qualités.

En seconde partie de saison l’année dernière, Slaf a été vraiment excellent… Et il faut se demander si nous allons revoir le même Slaf d’ici la fin de la campagne.

Cela dit, le joueur de 20 ans se met beaucoup de pression car il veut performer de la bonne manière. Il souhaite être un joueur important dans la formation de Martin St-Louis car il a confiance en lui.

Cela explique, selon moi, le fait qu’il ait trouvé que son début de saison était dégoûtant.

Le Slovaque affirme (LNH.com) qu’il a envie de vomir lorsqu’il repense à ses premiers matchs de la campagne. C’est une excellente citation :

J’ai du mal à me dire que c’est une simple coïncidence… Mais il ne faut pas oublier une chose dans tout ça.

Il y a exactement deux semaines, Kent Hughes a déclaré lors de son bilan de mi-saison qu’il souhaitait en savoir plus sur Slaf.

Le PDG du Canadien a rappelé que Slaf “est capable de faire mieux” et ce n’est pas la première fois cette saison qu’il lui envoie un message.

Début décembre, Hughes « s’en est foutu » de son jeune parce que ce dernier ne jouait pas comme l’organisation le souhaitait.

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Depuis le départ de Hughes il y a deux semaines, Slafkovsky compte quatre points au compteur (en sept matchs) et il s’est repris.

Il joue plus intensément, il va dans les zones payantes et il s’implique beaucoup plus sur la glace.

C’est le Slaf qu’on veut voir… Mais dans tous les matches :

Juraj Slafkovsky a 20 ans et il ne faut pas l’oublier.

Il gagne en maturité avec le temps et à un moment donné, il comprendra qu’il doit jouer de cette façon régulièrement pour avoir plus de succès.

Mais voir que les choses vont mieux de son côté depuis quelques temps reste une bonne nouvelle. Une chose à la fois…

En rafale

– Je n’avais pas ça sur ma carte de bingo !

–Ouain… ????

– À suivre.

– Oh !

– J’ai hâte de le voir la saison prochaine.

 
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