HUMEUR – Si la justice argentine a débouté les deux joueurs, accusés de viol, leur retour sous le maillot bleu semble prématuré, même si la loi est de leur côté.
Pendant de nombreux mois, ils ont défrayé la chronique judiciaire. Une affaire sordide qui n’a rien fait de bon pour l’image du rugby. Dans la nuit du 6 au 7 juillet 2024, au soir de leur première sélection avec le XV de France, contre l’Argentine à Mendoza, Hugo Auradou et Oscar Jégou sont sortis. Pour célébrer leurs débuts victorieux. Un bar, puis une discothèque, avant de rentrer tard (ou tôt selon) à leur hôtel, vers 5h30, assez ivre et en compagnie d’une rencontre nocturne. Une femme de 39 ans qui accusait alors les deux jeunes hommes (21 ans chacun) d’avoir eu des relations sexuelles non consensuelles avec elle.
Mis en examen pour viol collectif, le deuxième ligne de la Section Paloise et le troisième ligne du Stade Rochelais ont passé quelques jours en prison, avant d’être assignés à résidence. Finalement autorisés à rentrer en France mi-août, ils y ont suivi la suite de la procédure. Les contradictions…
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