« Le n°1 français ? Je ne savais pas » (Open d’Australie)

Pourquoi avoir quitté le centre ETC de Cannes pour vous installer en Espagne ?
Pendant deux ans, je n’ai pas pu vraiment progresser dans le classement. Il y avait le cap du Top 40 à franchir et je n’y arrivais pas. Après huit ans là-bas, il était difficile de trouver autre chose. Nous nous connaissions depuis si longtemps… C’était difficile à mon avis de progresser. Je suis juste parti pour avoir d’autres avis ou d’autres manières de travailler. Et je suis à Valence, avec un nouveau type de formation. C’est récent. Pour l’instant ça va. »