un échec olympique à effacer pour des Bleus renouvelés

un échec olympique à effacer pour des Bleus renouvelés
un échec olympique à effacer pour des Bleus renouvelés

Depuis, ils ont vu le nouveau grand rival danois se parer de l’or mondial trois fois de suite, une série inédite, la dernière fois (2023) en les battant en finale à Stockholm (34-29). C’est en revanche dès leur entrée aux JO, fin juillet, que la bande emmenée par le meilleur joueur du monde Mathias Gidsel leur a donné une leçon (37-29) qui a lancé sous de mauvais auspices un tournoi qui s’est terminé dans l’eau. de boudin. Par une défaite après prolongation en quarts de finale contre l’Allemagne (35-34 après) alors qu’ils menaient d’un but avec la possession du ballon à six secondes de la fin du temps réglementaire.

“Une cicatrice éternelle” pour Dika Mem, auteur du ballon qui a offert la prolongation à la Mannchaft, et sur le plan collectif pour les joueurs, déterminés selon le nouveau capitaine Ludovic Fabregas à “remettre l’équipe de à sa juste place”. . Ou tout en haut, ce qui serait une belle façon de célébrer, le 2 février à Oslo, le 30e anniversaire du premier titre mondial, remporté par les « Barjots » un peu plus au nord, à Reykjavik en Islande.

« Esprit d’équipe »

Après la désillusion olympique, les Bleus ne vont pas si loin selon Mem : « Il n’y a pas grand chose à changer non plus, en janvier (2024) nous étions champions d’Europe. Il faut retrouver de la fluidité dans le jeu et l’esprit d’équipe. Aux Jeux olympiques, le ballon circulait moins et l’individuel prenait le pas sur le collectif.

L’effectif a en effet évolué, avec les départs à la retraite de Nikola Karabatic et Vincent Gérard, la fin de la carrière internationale de Valentin Porte, et le changement de statut de Luka Karabatic, désormais simple militaire après avoir cédé le brassard à Fabregas. « Oui, il y a une reconfiguration de l’équipe, une redéfinition des statuts, l’idée d’une nouvelle phase, une nouvelle dynamique », a déclaré l’entraîneur Guillaume Gille.

Accéder au pouvoir

Elle a été lancée par quatre victoires. Les deux derniers galops d’essai ont permis aux deux grands blessés de la chute, Mem et Prandi, de revenir à la compétition. Mais pas à Hugo Descat (hernie discale), non retenu dans le groupe pour ce Mondial, dont le premier tour très abordable permet aux Bleus de monter en puissance, avec au programme, après le Qatar, le Koweït puis l’Autriche.

« On joue des équipes qu’on rencontre très rarement, avec des styles de jeu un peu atypiques, peu de références. Mais y a-t-il un tapis rouge qui se déroule devant nous ? Il va falloir faire des efforts, être efficaces et cette montée en puissance n’aura lieu que si nous sommes capables de superposer les briques », répond Gille.

 
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