AVIS Je n’ai pas été aussi en colère depuis longtemps… lors d’un match où le Sporting recevait la dernière équipe.
Après le premier but inscrit dans la dernière minute du - additionnel de la première mi--, le but décisif n’est arrivé qu’à la 94e minute.
J’ai certainement vu de meilleures victoires dans ma vie, mais celle-ci me rend particulièrement heureux, car je déteste les équipes qui se livrent à des jeux déloyaux systématiques à tous les niveaux. D’autant plus lorsque cela se produit avec une certaine complaisance de la part du corps arbitral !
Cependant, ce n’est pas contre Erik Lambrechts que je suis le plus en colère, mais contre ses acolytes du VAR.
Bien sûr, le maître du jeu aurait pu désigner lui-même le point de penalty à une des autres occasions, mais il n’a eu absolument aucune aide de ses collègues qui, contrairement à lui, ont eu l’occasion de revoir les actions.
Il y a eu au moins cinq disputes dans la surface de réparation. Je ne prétends pas qu’ils nécessitaient tous une pénalité, mais il y en avait au moins deux qui semblaient flagrants.
Avec le score de 7-1, il est vrai que la victoire d’Anderlecht a été bien plus nette en termes de cartons jaunes. Cependant, aucun de ceux collectés par les Anversois ne me paraissait excessif.
Les Bears ont en effet développé un football extrêmement physique et trop agressif.
Ils ont utilisé absolument toutes les astuces imaginables pour briser l’élan trop souvent débridé des Mauves en multipliant les mauvaises erreurs et en perdant constamment du -.
Sur ce sujet, j’aimerais impliquer tous ceux qui souhaitent réagir.
Avez-vous déjà vu un gardien sanctionné d’un carton jaune pour perte de - excessive recevoir un deuxième carton parce qu’il continue à se comporter de la même manière ? Quant à moi, je ne m’en souviens pas.
En revanche, combien de fois ai-je vu un gardien déjà informé se moquer de la personne à laquelle il faisait référence avec un sentiment d’impunité totale !
Il est clair que l’arbitre qui oserait brandir un deuxième carton jaune pour avoir perdu ou gagné du - (selon le point de vue qu’on adopte) se retrouverait vilipendé par les joueurs, l’entraîneur et les supporters de l’équipe sanctionnée.
Mais force est de constater qu’il s’agit là d’une faille du système. Le gardien bénéficie évidemment d’une clémence liée à sa condition particulière sur le terrain, mais il n’est pas normal qu’il puisse se permettre de se moquer délibérément de l’arbitre comme cela arrive trop souvent dans de telles circonstances. Selon moi, Shinton, le dernier défenseur du Beerschot, aurait dû recevoir le deuxième carton jaune.
Pour le reste, même si les Sportingmen ont eu les plus grandes difficultés à se dégager du piège tendu par leurs adversaires, il convient de souligner les mérites d’une équipe qui a recommencé le travail cent fois et qui a fait preuve d’une énorme combativité pour arracher la victoire en finale. derniers instants.
Je ne partage donc pas l’avis de certains amis qui jugent que c’est mauvais face à un adversaire particulièrement faible.
Ce type de match est généralement extrêmement compliqué si l’on ne parvient pas à ouvrir le score rapidement. Et si par hasard les adversaires marquent en premier, nous nous retrouverons face à une équipe qui saura se défendre bec et ongles.
C’est exactement ce qui s’est passé ce dimanche soir.
Alors, plutôt que de stigmatiser nos joueurs, je préfère entretenir leur envie de se battre jusqu’au bout avec une détermination exemplaire.
Quant aux Beerschotmen, c’était une bonne chose pour eux d’avoir encaissé ce but tant leur comportement a été dégoûtant tout au long du match. Leur place est en D2 ou division 1B comme on l’appelle aujourd’hui.
Je tiens à souligner l’entraînement courageux et réussi de David Hubert qui n’a pas hésité, en fin de match, à remplacer un milieu défensif par un attaquant.
En revanche, j’ai été déçu par le remplacement de N’Diaye par Augustinsson car les progrès du jeune Sénégalais le rendaient indiscutable par rapport à son concurrent, mais je ne connais pas tous les éléments dont dispose l’entraîneur d’Anderlecht. Moussa était peut-être complètement épuisé et il valait donc mieux le remplacer plutôt que de risquer une blessure.
Quoi qu’il arrive, un entraîneur gagnant a toujours raison et il est agréable de constater que c’est un centre du Suédois, dévié de la tête par Vasquez pour Dreyer, qui a permis à ce dernier de remettre le score à 2-1.
La leçon à tirer de tout cela est qu’il n’existe pas de match “facile” même face à un adversaire nettement moins fort sur le papier.
Au football, on ne se bat pas sur des cartes, mais sur le terrain et pour gagner, il faut marquer un but de plus que son adversaire.
On aurait imaginé un match à couper le souffle jusqu’au bout contre Gand plutôt que contre Beerschot, mais cela fait partie de la magie du football.
Certains matchs se gagnent avec confiance, d’autres avec caractère.
La victoire sur les Buffalos a été une démonstration, la victoire sur les Bears a été remportée dans les dernières secondes, mais bon Dieu, comme c’est agréable de participer à la joie collective de tout un stade qui se réjouit et explose au moment de la libération.
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