Grace Zaadi, center half of Les Bleues : « Nous n’étions pas trop satisfaits de notre match de la veille, même si la Roumanie a montré qu’elle avait beaucoup d’arguments (en battant la Suède ce vendredi). Le Monténégro est une équipe qui casse beaucoup le rythme. C’était important pour nous de jouer notre handball et d’imposer notre rythme. C’était un défi pour nous. On a réussi à rouler, à jouer dans un grand espace, à récupérer des ballons. On a fait des bonnes choses, des moins bonnes avec beaucoup de déchet (16 ballons perdus). C’est quelque chose que nous devrons rectifier, mais je suis très satisfait. Pour l’instant, je refuse de penser aux demi-finales, tout est encore possible, on a déjà vu des retournements de situation lors des précédents Championnats d’Europe. Dimanche, nous tenterons de nous qualifier et la Suède tentera de survivre. Ils n’auront plus leur destin entre leurs mains mais ce match sera vital pour eux. »
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Sébastien Gardillou, coach of the Bleues : « Pour moi, c’est un match à bascule. Nous avons passé beaucoup de - ce vendredi matin à débriefer le match contre la Roumanie. Les filles ont fait ce qu’elles avaient dit de faire, elles ont été assidues lors du dernier passage. C’est agréable de travailler avec des gens qui posent les bonnes questions, qui acceptent les critiques. Ils ne reçoivent que les fruits de leur travail. J’espère que ça continue, je pense qu’il y a encore des choses à améliorer. »
«Fzone tournante, ça facilite les choses »
Estelle Nze Minko, arrière gauche et capitaine des Bleues : « Il a fallu les étouffer physiquement, il a fallu courir. On a vu le - de jeu des Monténégrins : ils ont sept, huit managers qui jouent beaucoup. Les filles qui sont sur le terrain cinquante minutes par match, ça fait la cinquième de la compétition, donc forcément c’est compliqué. Nous, en revanche, pouvons nous retourner et courir, ce qui rend les choses plus faciles. »
Orlane Kanor, arrière gauche des Bleues (sanctionnée d’un carton rouge direct à la 24ee minute) : « J’ai été surpris par la décision des arbitres car ce n’était vraiment pas volontaire. Mais les arbitres m’ont expliqué que c’est une partie dure du corps (le bras) qui va au visage, c’est un carton rouge systématiquement, c’est dangereux. C’est frustrant pour moi mais les filles ont été courageuses, elles ont bien défendu. Après la désillusion de 2022 (dans le match pour la médaille de bronze de l’Euro), on a mis les bons ingrédients pour les battre. Il nous reste désormais deux matches difficiles et passionnants à jouer pour espérer accéder aux demi-finales. »
suisse