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David Gluzman dans la conférence : «Je pense que nous allons avoir une solution hybride. Je vais vous expliquer comment je vois la situation. Tout d’abord, il faut promouvoir le club, le club des Girondins n’est pas facile à promouvoir, les parts du club valent actuellement 1 euro. Mais il faut donner une valeur au club, c’est le premier point important. L’investisseur est probablement en train de déterminer cela avec Lopez, c’est un aspect qui prend du temps.
La valeur du club, un facteur essentiel
« Une fois qu’un accord aura été trouvé sur la valeur, le prêteur fixera en fonction du montant qu’il souhaite prêter. La valorisation du club est donc une étape essentielle, car le prêteur ne se contentera pas de prêter de l’argent, il fera en sorte qu’en cas de défaut, il puisse devenir actionnaire majoritaire du club, exactement comme Elliott à Lille, en mettant de côté Lopez. .»
Lopez devra-t-il céder ?
« Nous aurons un investisseur qui prêtera de l’argent et qui assurera des paramètres très précis par exemple, si la valeur du club baisse drastiquement, si Lopez ne peut pas respecter une échéance de remboursement, en cas de baisse, de non-remontée, de dépassement de la masse salariale. Tous ces événements pourraient potentiellement permettre au prêteur de reprendre le contrôle du club. C’est pourquoi c’est une bonne nouvelle, car le destin du club ne sera plus uniquement lié à Lopez, il y aura un garde-fou. »
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