« Le plus dur pour moi, c’était de porter ce fameux dossard numéro 1 »

« Le plus dur pour moi, c’était de porter ce fameux dossard numéro 1 »
« Le plus dur pour moi, c’était de porter ce fameux dossard numéro 1 »

« T » pour Triathlon et « 100 » pour 100 km, soit 2 km de natation, 80 km de vélo et 18 km de marche. C’est donc dans cette nouvelle épreuve, créée par la PTO et l’association World Triathlon, que l’Anversois de 31 ans est devenu champion du monde à Dubaï. Après des succès à San Francisco et Ibiza, mais aussi une deuxième place à Las Vegas, il fallait que Marten monte sur le podium de cette finale pour décrocher le titre et les 210 000 $ de bonus. Et il l’a fait avec style en s’imposant de main de maître.

Dès le début de la natation, Marten Van Riel a pris les devants, imposant un rythme élevé qui lui a permis de prendre la tête dès le premier tour, devant l’Australien Aaron Royle et le Britannique Alistair Brownlee. Préférant économiser un peu pour la suite, l’Anversois a laissé Aaron Royle boucler les 2 km de natation devant, en 24,36, terminant en cinquième position tandis que le Néo-Zélandais Kyle Smith suivait de près, quelques secondes derrière, et le Danois Magnus Ditlev de loin. , avec plus d’une minute de retard.

Marten Van Riel a parfaitement géré cette finale du T100…

Moins bon nageur, il comptait sur le vélo pour revenir aux avant-postes comme lors du dernier Ironman d’Hawaï où il a terminé à la deuxième place, derrière l’Allemand Patrick Lange. Et c’est le surprenant Français Mathis Margirier qui s’élançait en tête des 80 km, suivi d’un groupe de treize concurrents en file indienne. À mi-course, Smith est revenu dans le groupe tandis que Ditlev est revenu sous la minute. Mais le Danois a ensuite eu un problème mécanique avec la potence de son vélo !

« J’ai entendu dire que Magnus avait un problème technique et je suis désolé pour lui. Pour ma part, ce n’est pas comme ça que je veux battre mes adversaires. Mais c’est la course… Le trajet à vélo a été assez compliqué avec des virages très rapides et d’autres très étroits, où nous nous sommes retrouvés presque à l’arrêt. De même, à pied, il y a eu des petites montées comme celles qui m’ont probablement coûté la vie à Las Vegas au profit de Jelle Geens, donc je suis resté sur mes gardes jusqu’à ce que je lâche Rico Bogen, à 2 km de l’arrivée.

Marten Van Riel : « Une action de 210 000 $ ? Je ne courrai pas pour l’argent !

 
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