Prolongé cet été, Rayan Cherki reste l’un des principaux atouts de l’OL. Avec le besoin de vendre, le joueur offensif pourrait bien représenter une belle valeur cet hiver.
Ce vendredi, John Tisserand promettra un afflux d’argent important à la DNCG. Très certainement entre 100 et 200 millions d’euros via plusieurs leviers. Il y a la vente attendue d’actions de Crystal Palace, plus la date d’achèvement reste inconnue. Le plus probable reste la vente d’actifs et donc de joueurs dans les semaines à venir avec le mercato hivernal. Cet afflux d’argent pourrait venir de la vente de joueurs de Botafogo ou Molenbeek, mais on n’est jamais vraiment mieux servi que par soi-même.
à laOLMathieu Louis-Jean aura une grosse mission durant l’hiver pour sa première comme directeur technique du club : tenter de se débarrasser des indésirables afin de limiter les départs de joueurs importants. Cependant, rentrer du cash avec des éléments qui ne fonctionnent pas semble assez compliqué. Logiquement, l’avenir de ceux qui sont populaires comme Malick Respirer ou Ryan Tcherki se retrouveront scrutés jusqu’au 31 janvier 2025…
Valorisé à 25 millions d’euros désormais
Dans sa volonté de retrouver la Ligue des Champions, l’OL n’a clairement aucun intérêt à se séparer de ses meilleurs éléments. Mais la réalité économique est malheureusement bien différente… La première bonne partie de saison lyonnaise poussera peut-être certains grands noms à s’activer sur le sujet et Tcherki pourrait bien faire partie des joueurs « sacrifiés » pour passer en tête. Contrairement à cet été, le joueur offensif dispose désormais d’un contrat qui s’étend jusqu’en 2027 et donc d’une valorisation plus importante.
Ses bonnes performances depuis septembre auraient poussé Liverpool prendre des informations auprès de L’équipe. Ayant choisi Moussa Sissoko en tant que représentant désormais, Rayan Cherki aurait aujourd’hui une valorisation de 25 millions d’euros. Mais encore une fois, les courtisans devront se présenter devant le portail. Et qu’ils ignorent la situation financière de Lyon pour mettre le vrai prix. Car là encore, l’OL se retrouve un peu pris à son propre jeu…