« Avant certains matches, je ne dormais pas. Par exemple, avant le match contre Medvedev en quarts de finale de Wimbledon. Je ne me sentais pas bien le matin. »

« Avant certains matches, je ne dormais pas. Par exemple, avant le match contre Medvedev en quarts de finale de Wimbledon. Je ne me sentais pas bien le matin. »
« Avant certains matches, je ne dormais pas. Par exemple, avant le match contre Medvedev en quarts de finale de Wimbledon. Je ne me sentais pas bien le matin. »

En parlant Ciel SportJannik Sinner, sans s’excuser, a expliqué son état mental lorsque l’histoire de ses deux tests positifs a éclaté et qu’il devait continuer à jouer sur le circuit.

Il a notamment avoué son quart de finale contre Daniil Medvedev à Wimbledon, où son comportement sur le terrain avait été plutôt étrange.

« Avant certains matches, je ne dormais pas. Par exemple, avant le match contre Medvedev [en quarts de finale de Wimbledon]. Le matin, bien sûr, je ne me sentais pas bien. Du coup, nous avons dû jouer cinq sets, ce qui n’a pas aidé. Il s’est passé tellement de choses pendant cette période que j’ai essayé de me bloquer pour comprendre quelle était la bonne chose à faire à un moment donné. Et je dois remercier l’équipe qui m’a soutenu tout ce temps parce que j’en avais besoin. Par exemple, Darren Cahill n’est pas retourné en Australie, mais il est resté avec moi, mon père est venu. Grâce à eux, j’ai eu un sentiment de sûreté et de sécurité. Et c’est pourquoi je dédie toujours les victoires en tournois et les matchs importants à mes proches, car je ne peux pas imaginer comment je pourrais y parvenir sans eux. »

Publié vendredi 25 octobre 2024 à 08h46

 
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