Pour l’entraîneur des Lynx, les arbitres ont « volé » le titre WNBA à son équipe • USA

Pour l’entraîneur des Lynx, les arbitres ont « volé » le titre WNBA à son équipe • USA
Pour l’entraîneur des Lynx, les arbitres ont « volé » le titre WNBA à son équipe • Basket USA

Cheryl Reeve et Sandy Brondelloqui entraînent respectivement les Minnesota Lynx et les New York Liberty, ont alterné les critiques contre l’arbitrage dans ces Finales WNBA, au rythme des défaites de leurs équipes.

Evidemment, après la victoire finale de Jonquel Jones et compagnie, au terme d’un Game 5 particulièrement relevé, marqué par la maladresse générale (31% de réussite au tir pour les Liberty, 37% pour les Lynx…), c’est la première, au chef de l’équipe perdante, qui a clôturé cette partie de ping-pong sur les arbitres…

“Nous savons que nous aurions pu faire mieux certaines choses, mais nous ne devrions pas avoir à compenser autant” explique Cheryl Reeve. « Ce n’est pas si compliqué, l’arbitrage n’est pas si difficile. »

La technicienne de 58 ans, déjà quadruple championne WNBA avec Minnesota (2011, 2013, 2015 et 2017), vise ainsi l’écart aux lancers francs (21/25 pour le Liberty, 7/8 pour son équipe). , la sortie sur six fautes de Napheesa Collier et surtout la faute sur Breanna Stewart, qui a permis à cette dernière d’arracher la prolongation.

L’arbitrage, dénominateur commun des défaites de son équipe ?

Malgré le « challenge », les arbitres ont validé le contact, et donc les lancers francs de la star new-yorkaise, tandis que Cheryl Reeve reste persuadée que le contact était « au mieux marginal ».

Particulièrement vexée, la sélectionneuse de la Team USA a expliqué que l’arbitrage avait été le dénominateur commun des trois défaites de son équipe lors de ces Finales WNBA, se terminant par un ultime tacle sur ses adversaires.

“Nous avons donné de l’espoir à toutes les équipes qui ne veulent pas tricher avec le plafond salarial ou prendre des vols illégaux.” » a-t-elle lâché en référence aux polémiques autour des Las Vegas Aces et du New York Liberty. « Il n’est pas nécessaire d’avoir une « Super Team » pour avoir une équipe compétitive. »

Bien consciente que ses critiques allaient faire la une des journaux et être diffusées en boucle sur les chaînes sportives américaines, Cheryl Reeve en a assumé l’entière responsabilité : “Allez-y, ce titre nous a été volé…”

 
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