Steven Stamkos a tout perdu lors de son duel contre Julien Brisebois

Steven Stamkos doit regretter ses critiques publiques envers le directeur général du Lightning de Tampa Bay, Julien BriseBois.

Alors que Tampa réalise un excellent début de saison, les Predators s’enlisent.

«La plus grande différence entre le Lightning d’aujourd’hui et celui qui a remporté le championnat, c’est la défense»martela Stamkos.

Cette déclaration, couplée à son mécontentement face à l’absence de prolongation de contrat, crée un écart grandissant entre lui et BriseBois.

Le capitaine a exprimé sa frustration :

« Après tout ce que j’ai fait pour cette équipe, je ne m’attendais pas à être traité comme ça. »

« Pour être honnête, je suis extrêmement déçu. J’ai été clair avec l’organisation. Je voulais avoir ma prolongation de contrat avant le début du camp d’entraînement.

“Je n’aurais jamais pensé qu’on me montrerait si peu de respect après tout ce que j’ai fait pour l’organisation.”

« J’ai toujours dit que je voulais terminer ma carrière ici. Mais je ne peux pas m’offrir de contrat. Je ne peux pas signer un contrat qui n’existe pas. En ce moment, je suis sous le choc. Je ne comprends pas, non.

Stamkos a choisi de signer avec les Predators de Nashville cet été, attiré par une offre alléchante de 4 ans à 8 millions de dollars par saison.

Malheureusement, cette union ne se déroule pas comme prévu. Les Predators ont perdu leurs quatre premiers matchs, et Stamkos n’a pas encore inscrit le moindre point, une performance inacceptable pour un tel salaire.

Le journaliste Alex Daugherty, spécialisé dans la couverture des Predators, a détaillé les défauts de l’équipe : tirs bloqués par les adversaires, attaque inefficace et jeu de puissance dysfonctionnel avec un taux de réussite de seulement 14,3 %.

En plus de cela, Juuse Saros, le gardien vedette, se comporte horriblement. Stamkos n’est pas le seul responsable, mais c’est lui qui reçoit les tomates.

Les Predators ont encore le temps de se ressaisir, mais les inquiétudes grandissent autour de Stamkos. Sa signature était censée marquer un tournant pour Nashville, mais les résultats tardaient à venir.

Dans cette saga, le temps presse pour Stamkos, qui devra prouver qu’il peut encore être un joueur d’élite, que ce soit à Nashville ou ailleurs.

Pour BriseBois et le Lightning, ils prouvent déjà qu’ils peuvent avancer sans leur capitaine.

Le Québécois a gagné son duel sur toute la longueur.

 
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