Le cas Steven Stamkos attire l’attention à Tampa Bay… et dans la LNH en général. Après tout, même si tout le monde sait que le joueur veut revenir au Lightning, il existe un monde où cela n’arrive pas.
Et là, ça ferait beaucoup parler. Après tout, il serait très demandé.
Évidemment, voir Stamkos dans un autre uniforme serait spécial. Toutefois, si Vincent Lecavalier et Martin St-Louis terminent leur carrière sous d’autres couleurs… tout est possible.
Le sujet est brûlant en ce moment du fait que les Lightning sont éliminés. Mais en réalité, ce qu’il faudra, c’est une bonne vague de discussions entre Julien BriseBois et l’agent du capitaine.
Stamkos, qui souhaite rester, se dit « enthousiasmé » par les discussions à venir.
D’après ce que l’on comprend, on en arrivera à ceci : le Lightning parviendra-t-il à trouver un montant qui ne détruira pas la (fragile) balance salariale de l’organisation… sans l’insulter avec une offre ? trop bas?
Il est là, https://twitter.com/FriedgeHNIC/status/1785667457430020374débat.
A noter que le DG BriseBois, pour ce que ça vaut, se dit « très confiant » de pouvoir trouver un terrain d’entente avec son capitaine, qui est excellent depuis plusieurs semaines.
Le directeur général québécois affirme également avoir eu des discussions avec Stamkos et son agent depuis l’élimination du Lightning. Mais au fond, on sent qu’il n’a pas envie de « tomber amoureux » de son joueur.
A noter qu’un autre dossier retient l’attention à Tampa Bay : Jon Cooper.
Cependant, il convient de noter que même si l’on pensait qu’il ne lui restait qu’un an de contrat, il semble qu’en réalité il lui reste deux ans. BriseBois a dit qu’il lui restait du temps à son contrat… et selon David Pagnotta, il lui reste encore deux ans à son contrat.
Dans son podcast d’aujourd’hui, diffusé avant de le savoir, Elliotte Friedman a déclaré que les équipes pourraient attendre avant d’embaucher un entraîneur, tout d’un coup jusqu’à ce que Mike Sullivan ou Jon Cooper soient disponibles.
Alors, enlevez le nom de Cooper.
Beaucoup de
– Victor Hedman est à un an de l’autonomie.
– Difficile à comprendre.
– Très triste, tout ça.
– Intéressant.
– Aie.
