Dans une première déclaration commune publiée jeudi, les dirigeants de 18 pays ont appelé à la libération des otages détenus à Gaza. Toutes ces nations ont eu, ou ont encore, des nationaux aux mains du Hamas.
« Nous appelons à la libération immédiate de tous les otages détenus par le Hamas à Gaza depuis plus de 200 jours, y compris nos propres citoyens. Le sort des otages et de la population civile de Gaza, qui doivent être protégés par le droit international, suscite une préoccupation mondiale. Nous soulignons que l’accord proposé pour libérer les otages entraînerait un cessez-le-feu immédiat et prolongé à Gaza, ce qui faciliterait l’arrivée de nouveaux besoin d’aide humanitaire dans toute la bande de Gaza, et conduire à. une fin crédible des hostilités, tandis que les habitants de Gaza pourraient rentrer chez eux », indique le communiqué.
« Nous soutenons fermement les efforts de médiation en cours pour ramener nos citoyens chez eux. Nous réitérons notre appel au Hamas pour qu’il libère les otages et mette fin à cette crise afin que nous puissions collectivement concentrer nos efforts sur l’établissement de la paix. la paix et la stabilité dans la région », conclut-elle.
La déclaration a été signée par les dirigeants des États-Unis, de l’Argentine, de l’Autriche, du Brésil, de la Bulgarie, du Canada, de la Colombie, du Danemark, de la France, de l’Allemagne, de la Hongrie, de la Pologne, du Portugal, de la Roumanie, de la Serbie, de l’Espagne, de la Thaïlande et du Royaume-Uni.
133 otages, dont certains sont probablement morts, sont toujours détenus à Gaza.