« Si nous avions marqué ce premier but… », déplore l’entraîneur toulousain Carles Martinez Novell

« Si nous avions marqué ce premier but… », déplore l’entraîneur toulousain Carles Martinez Novell
« Si nous avions marqué ce premier but… », déplore l’entraîneur toulousain Carles Martinez Novell

l’essentiel
Défait 2-0 à l’Européen Brestois ce dimanche 22 septembre dans le cadre de la cinquième journée de L1, le Toulouse FC n’a plus la recette. Lui qui était invaincu hors du Stadium depuis plus de six mois. L’entraîneur Carles Martinez Novell sur le gril…

Carles, on t’a vu aller parler à l’arbitre Florent Batta au coup de sifflet final. De quoi s’agissait-il ?
Je voulais lui parler du deuxième penalty. De mon point de vue, la faute est claire. Zakaria a été touché, même s’il est vrai qu’il est allé le chercher intelligemment.

Le fait que le SB29 allait connaître un gros turnover par rapport à son match de Ligue des Champions de jeudi vous a-t-il perturbé, notamment dans la préparation ?
On a essayé d’anticiper au maximum. Le but était de créer le plus de rythme possible. De provoquer de la fatigue chez l’adversaire.

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Ce revers n’est-il pas également dû à un esprit défaillant ?
Dès le début, on était plutôt positif dans le match qu’on voulait produire. Après, le scénario avec le premier but encaissé ainsi que le penalty manqué ensuite ont peut-être eu un impact sur notre moral. Je peux le reconnaître. Par contre, le groupe avance et on continue de s’améliorer dans tous les domaines. Capitalisons sur les bonnes choses, c’est toujours le processus. Mais…

Oui…
Si on avait ouvert le score, on aurait complètement changé… Ils seraient tombés aussi, je pense. Ou si on avait égalisé, on aurait eu ce déclic !

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Un mot sur la première d’Akdag.
Nous nous sommes retrouvés dans une situation inédite. Umit s’entraîne très bien, même si nous n’avons pas eu l’occasion de le voir lors des matchs de préparation. A un moment, il fallait qu’il se mette en route, de toute façon ! Au début, il semblait un peu stressé. En tout cas, il méritait sa place aujourd’hui.

 
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