A l’initiative de la Pro League, les 27 clubs professionnels du pays se sont retrouvés ce jeudi tout au long de la journée à Diegem. Répartis en trois groupes (clubs G5, K11 et Challenger Pro League), ils ont eu l’occasion de présenter leurs doléances au CEO Lorin Parys lors d’une vaste séance de brainstorming. Après la réunion secrète du G5 (Anderlecht, Anvers, Bruges, Gand, Genk et ses trois invités censés être un peu plus représentatifs du paysage francophone (Charleroi, Standard, Union) au Kasteel van Bever mi-février, le reste du contingent pro avait resserré les rangs en travaillant également sur une proposition de réforme de la compétition.
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Après un nouveau tour d’horizon, les points de friction restent les mêmes. A savoir le nombre d’équipes (18, 16 ou 14 ?), l’élimination ou non des playoffs souhaitée par Bruges (et qu’Anderlecht, Genk ou encore Gand ne refuseraient plus aussi catégoriquement que par le passé, on le sait) ainsi que ainsi que l’abandon des playdowns qui, aux yeux du K11, généreraient trop de stress et empêcheraient d’anticiper l’avenir assez tôt dans la saison. A l’heure actuelle, il semble qu’une base de négociation soit envisageable entre le G5 et le K11 sur le principe d’un retour à plus de linéarité dans la formule du championnat. Sans cela, nous ne pouvons actuellement aller que dans une seule direction. Même s’il est clair que le G8 (le G5 et ses trois invités de février) a clairement pris le contrôle du dossier
