A Bercy et contre le PSG, le « H » cherche à atteindre la 3e

A Bercy et contre le PSG, le « H » cherche à atteindre la 3e
Descriptive text here

Le HBCN est 2ème du championnat et toujours en lice en Coupe d’Europe, quelle est l’importance de cette Coupe de France ?

Grégory Cojean : « Nous avons la possibilité de remporter un nouveau titre dans une salle magnifique, devant 17 000 personnes pour le handball… Nous jouons contre le PSG, la meilleure équipe de France. C’est une superbe affiche. Il est demandé aux joueurs du HBCN de vouloir tout gagner. Pour certains, il y a beaucoup de titres dans une carrière, pour d’autres beaucoup moins. Cette mentalité de compétition est inculquée au centre de formation de Nantes. Nous devons jouer chaque match pour gagner. Depuis le début de la saison, c’est ce que nous faisons. »

Vous avez battu le PSG en championnat, qu’est-ce qui vous donne des idées ?

Grégory Cojean : « Les battre en championnat nous a donné confiance. Ça fait un moment qu’on n’a pas perdu contre eux en money time (dernières minutes de jeu, ndlr). Nous nous sommes prouvés que nous pouvions renverser la situation. Cela montre également que tout le travail consacré à la formation a porté ses fruits. On sait aussi qu’on les a piqués en leur infligeant leur première défaite de la saison… Ça va être un très gros match ! »

2 000 supporters nantais se rendront à Paris. Un vrai plus ?

Valéro Rivera : « Le public a ses habitudes à Bercy (rire). A chaque fois qu’on y va, il y a un grand mur violet qui nous motive, nous pousse. On va en avoir besoin parce qu’il va falloir contrôler le match un peu plus qu’en championnat. Paris est très fort là-dessus. Le tempo sera une des clés de cette rencontre. »

Finale de Coupe de France : HCBN vs PSG à l’Accor Arena de Paris. Coup d’envoi samedi 20 avril à 21h05
Rencontre à suivre en direct sur la chaîne L’Equipe
Plus d’informations sur hbcnantes.com

 
For Latest Updates Follow us on Google News
 

PREV Le Brésil rend hommage à Ayrton Senna, 30 ans après sa mort
NEXT Chris Chelios explique pourquoi Patrick Roy aurait pu être capitaine