« Nous avons tous approuvé ce transfert », confie Nicolas Brusque, membre du conseil de surveillance. – .

« Nous avons tous approuvé ce transfert », confie Nicolas Brusque, membre du conseil de surveillance. – .
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Ce lundi 15 avril, alors que les joueurs du Biarritz Olympique (14ème de Pro D2) reprenaient l’entraînement après la fessée reçue à Mont-de-Marsan (38-7) et avant de recevoir Grenoble (vendredi, 21 heures), le club le directoire et le conseil de surveillance se sont réunis toute la matinée. De 11h à 13h….

Ce lundi 15 avril, alors que les joueurs du Biarritz Olympique (14ème de Pro D2) reprenaient l’entraînement après la fessée reçue à Mont-de-Marsan (38-7) et avant de recevoir Grenoble (vendredi, 21 heures), le club le directoire et le conseil de surveillance se sont réunis toute la matinée. De 11h à 13h30, ces deux entités ont été appelées à voter les autorisations de transfert du club afin qu’il passe de la propriété de Louis-Vincent Gave à celle de Shaun Hegarty à travers leurs sociétés respectives. Gavekal Capital Limited pour le premier, B.Otiful pour le second.

Les membres du conseil de surveillance, Laurent Mindurry, Serge Lagaronne, Jacques Etchalus, Nicolas Brusque et Stéphane Carella, avaient fait le déplacement sous le crachin de Biarritz. La famille Gave (Louis-Vincent, président du conseil de surveillance, son père Charles, vice-président et sa sœur Emmanuelle, membre) avait cédé le pouvoir. La validation a été effectuée à l’unanimité, rendant effectif le changement de propriétaire du Biarritz Olympique à compter de ce mardi 16 avril.

« Dommage qu’on ne sache rien »

“Nous avons tous approuvé cette passation de pouvoir”, a confirmé Nicolas Brusque à la sortie des locaux administratifs du club situés dans la tribune Blanco. C’est une étape importante qui nous a permis de clôturer notre collaboration avec Jean-Baptiste Aldigé et la famille Gave que nous avons également remercié pour la pérennité du club. Ils sentaient qu’ils étaient arrivés au bout de ce qu’ils voulaient faire pour ce club autour d’un modèle économique avec un nouveau stade. Ce problème reste le même aujourd’hui pour les nouveaux propriétaires. »

L’ancien latéral du BO (2001-2010) et président de 2015 à 2018 espérait avoir plus de détails sur l’avenir financier du club lors de cette matinée de réunion. Toujours pas. « Le choix de Shaun (Hegarty) et son esprit fédérateur sont une bonne chose, il est tout à fait légitime pour reprendre le BO. Je trouve juste dommage qu’on ne sache toujours rien sur les moyens financiers et les personnes physiques et morales qui rejoindront le club. Ce manque d’information continue d’entretenir le flou. »

Même pas 1 euro

Dès sa comparution devant la presse vendredi 5 avril, Shaun Hegarty a procédé à une nomination à l’issue de l’assemblée générale extraordinaire qui aura nommé un nouveau directoire. Celle-ci sera convoquée vers le 2 mai. Mais l’A2R, le gendarme financier du rugby (feu DNACG), n’attendra pas cette date pour exiger des garanties financières du nouveau propriétaire du BO et s’assurer que le club puisse terminer la saison.

Dès ce mardi, Shaun Hegarty et son équipe devront prouver qu’ils ont les atouts pour mener à bien l’exercice en cours. S’appuyant sur un rapport A2R, le vendeur affirme avoir quitté le club avec une situation positive de 375 000 euros et avoir informé les acheteurs du montant annuel nécessaire pour continuer au même niveau, soit au moins 3 millions d’euros. euros.

D’ailleurs, l’euro symbolique auquel devait être vendu le Biarritz Olympique a-t-il été payé ? Non. Louis-Vincent Gave a « donné décharge » et n’a donc pas demandé à Shaun Hegarty.

 
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