Dans le monde du sport, les réalisations individuelles sont souvent célébrées et admirées pour la détermination et le travail acharné qu’elles représentent.
Malheureusement, certains individus semblent incapables de reconnaître le mérite des autres, préférant se perdre dans un flot de jalousie et de ressentiment.
C’est le cas d’Andrew Berkshire, journaliste anglophone de Montréal, dont les récentes critiques sévères à l’égard de Zach Hyman, fraîchement inscrit une cinquantaine de buts à l’âge de 31 ans, ont suscité l’indignation générale.
Berkshire, dans un accès de mépris, a fait tout son possible pour discréditer l’accomplissement de Hyman, en mettant fortement l’accent sur sa prétendue « chance » tout au long de sa vie.
Selon lui, Hyman n’est rien d’autre qu’un « fils à papa », né dans une famille riche, et ayant bénéficié de privilèges depuis sa jeunesse.
@andrewberkshire Nous avons besoin de plus d’honnêteté dans notre narration. L’idée selon laquelle travailler dur garantit le succès est romantique et séduisante, mais en grande partie un mensonge. Zach Hyman n’est pas arrivé là où il est grâce à un travail acharné. #edmontonoilers #torontomapleleafs #leafs #oilers #hockey #nhl #hockeytok #hockeytiktoks ♬ son original – Andrew Berkshire
Pour Berkshire, le récit médiatique actuel, qui présente Hyman comme un travailleur acharné qui a surmonté son manque de talent naturel, est purement fallacieux.
Certes, Berkshire reconnaît le travail acharné de Hyman, mais il refuse catégoriquement de lui accorder le statut de véritable buteur de cinquante buts.
À ses yeux, Hyman n’est qu’un opportuniste qui a su profiter de son environnement privilégié pour progresser dans le monde du hockey.
Selon Berkshire, quiconque avait eu la chance de jouer aux côtés de joueurs de calibre comme Auston Matthews et Connor McDavid aurait pu accomplir le même exploit.
Pourtant, malgré ses affirmations, Berkshire a raté une occasion de se taire et de permettre à Hyman de savourer son succès.
Ses critiques dures et jalouses ne révélaient que son propre malaise et sa frustration face au succès des autres.
Au lieu de dénigrer le mérite d’un joueur qui a su saisir les opportunités qui se sont présentées à lui, il serait plus sage que Berkshire se remette en question et examine ses propres motivations.
Après tout, dans le monde du sport, la jalousie et l’amertume n’ont pas leur place.
Il est temps pour Berkshire de faire preuve de maturité et de respect envers ceux qui réussissent, plutôt que de chercher à les faire tomber avec ses propres frustrations personnelles.
Amen!
